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Utiliser un pot de yaourt comme mesure
- 2 yaourts
- 1 demi pot de sucre (voir moins, je pense qu'1/4 de pot suffit)
- 3 pots de farine
- 1 demi pot d huile
- 1 sachet de levure
Mélanger le tout. Mettre dans un moule à gâteau.
Cuire au four (préalablement chauffé à 180°) 30, 35 minutes à 180 degrés.
Déconfinement: attention à une deuxième vague plus puissante, avertit le virologue Christian Drosten
" Conseiller du gouvernement allemand, connu du grand public via une émission de radio hebdomadaire, Christian Drosten est un virologue allemand reconnu. Face aux premières mesures de déconfinement, il met en garde contre une deuxième vague d’épidémie « plus puissante et incontrôlable ». "
" si les efforts sont relâchés trop rapidement, il prédit une deuxième vague de contamination, plus puissante et plus difficile à contenir que la première, puisqu’elle démarerait partout en même temps "
" Pour illustrer ses propos, le virologue s’inspire de la grippe espagnole, qui a touché le monde en 1918. Il explique qu’elle est d’abord apparue au printemps et s’est propagée de manière inégale. Grâce à des mesures de couvre-feux et aux effets de l’été, elle a disparu pendant quelques temps, avant de revenir encore plus puissante à l’automne. D’après Christian Drosten, sur les 50 millions de motrs causés par la maladie, la plupart sont survenues durant la deuxième vague. "
Dans une tribune publiée dans le quotidien Le Monde, un collectif de plusieurs dizaines de chercheurs, enseignants, formateurs et acteurs associatifs propose que les cours puissent se tenir à l’extérieur des établissements.
Après deux mois de confinement, il est temps de faire bénéficier les enfants des bienfaits de la nature, plaident les signataires : « Les établissements scolaires ne disposent souvent pas d’espaces suffisants à l’intérieur pour permettre le respect des distances minimales recommandées. Les classes et les espaces de circulation sont trop exigus et entraînent des densités moyennes élevées et des situations de promiscuité. En revanche, la plupart des communes disposent d’espaces extérieurs – jardins, parcs, stades, terrains de football, forêts, etc. Et si on s’en servait pour faire classe ? »
Mais les considérations ne sont pas que sanitaires, loin de là. « Commencer à faire classe à ciel ouvert pourra contribuer aussi à l’épanouissement des enfants, en leur offrant l’espace, le calme et les possibilités de découverte et d’émerveillement dont ils ont besoin », et c'est devenu « indispensable ».
Une pétition est également à signer ici.
Source texte : Mediapart
Voir un bel exemple de « classe dehors » dans cet excellent documentaire :
https://shaarli.mydjey.eu/?vjaJiQ
La réalisatrice Marie-France Barrier est partie à la rencontre de forestiers, d’éleveurs, de vignerons, d’institutrices, de médecins ou de simples citoyens qui ont mis l’arbre au cœur de leur vie et de leurs métiers
"Gérard Larcher met en cause l’exécutif
Dans un entretien au Journal du dimanche, le président du Sénat estime que « la pénurie, le manque de masques et de tests » ont été « gérés par l'approximation », et met en cause « les prises de paroles incessantes et contradictoires » de l'exécutif dans la crise. « On a géré la pénurie, le manque de masques et de tests par l'approximation et parfois par l'omission », estime-t-il, avant d’ajouter : « Les Français pensent qu'on ne leur a pas dit la vérité. On ne pouvait pas leur dire que le port du masque était inutile. On ne pouvait pas leur dire que le dépistage massif n'était pas indispensable. Certes, il est toujours facile de jeter la pierre, mais je crains que cette confusion ait un peu plus contribué à une société de défiance vis-à-vis de la parole publique, y compris scientifique. »"
Voir aussi : https://www.lavantposteparis.fr/
" J’habite à Epinay sur Seine, de l’autre côté de Villeneuve La Garenne ! Un drone patrouille au dessus de nous, ma fille allume la torche de son téléphone, le drone la sienne, descend s’immobilise, inspecte et repart! Bienvenue dans #le monde d’après! "
J'avais un chargeur d'ordi portable dont le câble avait fini par s'abîmer au niveau du boîtier (câble entre le chargeur et le branchement sur l'ordi). Des brins sortaient de la gaine extérieure et faisaient masse.
Face à l'urgence de la panne, j'avais acheté un chargeur no-name compatible. Ce chargeur est de très moyenne facture, chauffe beaucoup et menace de pas durer longtemps.
J'ai pas envie d'en racheter un, pas envie non plus de mettre ~50€ dans l'achat d'un chargeur de qualité (sur un vieil ordi). J'ai profité du confinement pour réparer l'ancien chargeur, qui lui est de bonne qualité (chargeur d'origine Thosiba).
Si ça peut être utile et motiver d'autres personnes à se lancer dans une réparation :
Les câbles qui relient le boîtier du chargeur à l'ordi (selon le modèle de chargeur) peuvent avoir deux ou trois (voir plus) de câbles. Ce peut être des câbles classiques (fils gainés les uns à côtés des autres) ou des circuits concentriques (avec un âme centrale et les autres "enroulés autour et isolé les un des autres).
Pas de chance, chez moi ce sont des câbles concentriques (plus chiant à dénuder et isoler). Coup de chance il n'y a que deux câbles !
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Première étape ouvrir le boitier (à adapter, perso j'ai utilisé une vielle carte de crédit et un tournevis).
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Seconde étape : Dessouder les anciennes bornes du chargeur. Ça me paraissait trivial, mais j'ai bien galéré. Mon fer à souder ne chauffe pas assez pour fondre l'étain (costaud) du circuit. J'ai dû improviser ... et utiliser un brûleur de gazinière pour faire monter la panne du fer en température.
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Troisième étape : Couper la partie abîmée du câble et dénuder. Voici ce que ça donne une fois les câbles dénudés. Sur la photo le câblage centrale blanc n'est pas encore dénudé. Sur la gauche on aperçoit le câble telle qu'il était avant ouverture du boîtier. J'ai réutilisé le bout de gaine extérieur noir (coupée sur la longueur) pour isoler à nouveau mon câble (un peu de glue le long de la gaine coupée).
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Quatrième étape : Souder (à l'étain) les câbles sur le circuit, sans les inverser. :p
Sur le circuit on remarque les inscriptions VO et GND. J'avais pris soins de repérer les couleurs avant de dessouder.
Pour mémoire :
GND - (ground) la masse, c'est les brins extérieurs entourés de gaine noire.
VO + 19v chez moi, ce sont les brins intérieurs entourés gaine blanche.
S’assurer qu'une fois soudés les câbles ne présentent pas de jeu dans le logement. Si c'est le cas jouer du fer et de ruses pour que ce ne soit plus le cas. S'assurer aussi, évidement, que les deux bornes ne sont pas en contact (bouts d'étain etc.).
Avant de refermer le boîtier et de brancher sur le PC. Petit contrôle au multimètre sur la borne du chargeur pour vérifier qu'on a bien 19 volt en sortie (voir des infos ici).
Bien content de réutiliser un chargeur de qualité qui menace pas de foutre le feu ! Le tout sans débourser un rond.
Pour une prochaine et pour se motiver à réparer ses câbles de chargeur USB de téléphone, un tuto vidéo.
" la secrétaire d'Etat Agnès Pannier-Runacher: « Il est important, en vue du déconfinement, de donner les moyens à chaque Français qui le souhaite de confectionner des masques, en complément des masques grand public produits par notre industrie textile depuis plusieurs semaines. » "
[Edit] Ce gouvernement est minable : https://twitter.com/CerveauxNon/status/1253684916971360257
"L’historien Johann Chapoutot éclaire, à la lumière de l’exemple allemand, les failles de la gestion française de la pandémie. Alors qu’Angela Merkel s’adresse à la raison des citoyens".
" Les pouvoirs politiques allemands étaient disponibles, au moment du surgissement du Covid-19. Ils avaient une capacité de diagnostic politique et social, une capacité d’attention dont était privé le pouvoir politique français.
Il faut se reporter quelques semaines en arrière : l’exécutif français était focalisé sur l’enjeu de la réforme des retraites. Le 29 février 2020, un conseil des ministres exceptionnel, consacré censément à la crise du coronavirus, décidait de l’application de l’article 49-3 de la Constitution sur la réforme des retraites. Deuxièmement, ce pouvoir politique français était déjà très faible, très contesté de toutes parts. Il était préoccupé uniquement de lui-même et du raffermissement de son pouvoir. "
" Souvenons-nous que la ministre de la santé démissionne le 16 février pour aller sauver une candidature à la mairie de Paris – ce serait totalement impensable en Allemagne ! Autocentré, le pouvoir français est également violent, comme le montre le traitement des médecins, infirmières et aides-soignants matraqués et gazés par la police au cours de leurs nombreuses manifestations ces derniers mois. Le résultat est que le gouvernement français, qui n’était pas à l’écoute, n’était plus écouté non plus. "
"Merkel, comme Steinmeier (le président fédéral), parle à la raison de leurs auditeurs. Je cite Merkel : « La situation est dynamique, nous allons apprendre d’elle au fur et à mesure. […] Je vous le demande, ne vous fiez pas aux rumeurs […] Nous sommes une démocratie, nous ne vivons pas de la contrainte, mais d’un savoir partagé. » Quant à Steinmeier : « Nous sommes une démocratie vivante, avec des citoyens conscients de leur responsabilité, nous écoutons les faits et les arguments, nous nous faisons confiance.
Merkel comme Steinmeier parlent à des adultes, à des citoyens rationnels. Le contraste est net avec la France, où l’on nous parle comme à des enfants. Comme l’avait dit Sibeth Ndiaye, on assume de mentir pour « protéger le président ». "
" En France, on nous ment. On nous félicite, on nous enguirlande, on nous gronde, on nous récompense, à l’instar de Macron dans ses interventions ; ou l’on nous tance ou nous insulte, comme le déplorable préfet de police de Paris, Didier Lallement. En France, on masque l’impuissance concrète, réelle, du gouvernement par des rodomontades ridicules. « Nous sommes en guerre », avait dit Macron, auquel répond Steinmeier, calmement et fermement : « Non, ceci n’est pas une guerre. »"
" C’est dans ce cadre plus large que je conçois la question du fédéralisme : l’importance donnée en Allemagne au dialogue, à la concertation et à la raison. La structure fédérale fait qu’Angela Merkel ne peut prendre de décision sans consulter les 16 ministres-présidents des 16 Länder. En France, les mesures annoncées lors de la dernière allocution du 13 avril ont été communiquées aux ministres quinze minutes avant le discours du monarque républicain qui, verticalement et de manière transcendante, surprend jusqu’à son propre gouvernement. C’est stupéfiant d’archaïsme."
"il est certain que le pouvoir exécutif allemand parle et agit sous le contrôle de deux instances fondamentales, d’une part le Parlement, le Bundestag, et d’autre part la Cour constitutionnelle. Cette cour est d’ailleurs une véritable entité juridique, composée de juristes.
Rien à voir avec le Conseil constitutionnel en France, où l’on recase des hommes et femmes politiques en fin de carrière. En Allemagne, c’est quelque chose de sérieux. La République fédérale allemande est par ailleurs une véritable République parlementaire. C’est le Bundestag qui gouverne par le truchement du gouvernement. À tout instant, il peut lui retirer sa confiance.
Dans le cadre de l’état d’urgence en France, des pouvoirs exceptionnels ont été conférés à l’administration. En Allemagne, aucune disposition de ce type n’a été prise"
"En France, les droits et les libertés fondamentaux sont totalement négligés et piétinés par le pouvoir exécutif. Depuis l’état d’urgence antiterroriste, dont une partie est devenue du droit commun depuis 2018, puis l’état d’urgence sanitaire, dont on sait, là aussi, que de nombreuses dispositions, par un effet de cliquet, vont rester dans le droit commun. À chaque fois qu’un état d’urgence est voté, on perd en liberté. Ce n’est pas le cas en Allemagne."
""Living in a Ghost Town", nouveau morceau des Rolling Stones, dévoilé ce jeudi, premier titre original en huit ans, est une surprise totale, enregistrée avant le confinement, terminée pendant, mais qui résonne étrangement avec la situation actuelle."
" Le géant pharmaceutique va consacrer 100 millions d'euros à la «solidarité nationale dans la lutte contre le Covid-19 ». C’est moins que les aides qu’il perçoit en crédit d’impôt recherche et 40 fois moins que ce qu’il versera à ses actionnaires. "
" Le 15 avril 2020, le centre patronal, une organisation d’employeurs en Suisse, a publié un communiqué d’anthologie, dans lequel il s’inquiète que le confinement ne fasse trop apprécié la sobriété heureuse prônée par les écologistes : « Il faut éviter que certaines personnes soient tentées de s’habituer à la situation actuelle, voire de se laisser séduire par ses apparences insidieuses: beaucoup moins de circulation sur les routes, un ciel déserté par le trafic aérien, moins de bruit et d’agitation, le retour à une vie simple et à un commerce local, la fin de la société de consommation.. ".
3 beaux poireaux
2 càs d’huile (olive de préférence)
1 grosse carotte (facultatif)
1 navet (facultatif)
400 grs de tofu ferme
3 càs de sauce soja
Poivre au goût
15 cl de crème végétale (facultatif)
Graines de sésame grillées (facultatif)
Couper dans la longueur les poireaux, puis les émincer finement en gardant le vert (si vous souhaitez, vous pouvez enlever les feuilles vertes extérieures, qui sont souvent plus épaisses).
Laver très soigneusement les poireaux émincés et les égoutter.
Verser l’huile dans une poêle, ajouter les poireaux, couvrir et laisser cuire à feu doux 10 mn à 15 mn en remuant de temps en temps.
Pendant ce temps, écraser très grossièrement le tofu avec une fourchette ou à la main, ajouter la sauce soja et mélanger. Laver soigneusement la carotte et le navet, les râper.
Quand les poireaux sont presque cuits, y ajouter la carotte et le navet râpés, le tofu, le poivre.
Pour un résultat plus crémeux, ajouter la crème végétale.
Mélanger, laisser cuire environ 5 mn à feu doux en mélangeant de temps en temps.
Servir chaud avec une céréale (riz, boulgour, quinoa, sarrasin… ) et des crudités, ou utiliser comme garniture de crêpe.
Au moment de servir, vous pouvez saupoudrer de graines de sésames grillées.
Un peu de sel noir ajouté avant de servir donnera à votre plat une saveur d’œuf dur !
Variante : remplacer les poireaux par d’autres légumes (blettes, épinards, carottes, etc).
Préparation :
– Dans un grand récipient, mettre les pois chiches et couvrir avec l’eau
– Ajouter un peu de bicarbonate
– Laisser tremper 3 jours successifs en changeant chaque jour l’eau de trempage
– Répartir dans des sacs de congélation et ranger.
Au besoin, retirer par petite quantité et l’utiliser directement.
Les pois chiches seront toujours prêts à n’importe quel moment.
Ils cuiront rapidement et seront très moelleux