Quotidien Shaarli

Tous les liens d'un jour sur une page.

April 8, 2020

« Le gouvernement grec a anticipé très tôt la crise du coronavirus » – Entretien avec Olivier Delorme – Voix de l'Hexagone
thumbnail

Comment la Grèce, pays saigné à blanc, réussit le tour de force de n’avoir que 1700 malades et 70 morts.
L’intelligence de son 1er ministre

Après le COVID-19 : La Stratégie du Choc - YouTube
thumbnail

Vidéo très bien foutue et positive, à regarder (jusqu’à la fin) et à faire tourner.

A nous citoyens d'être vigilants pour faire en sorte que la stratégie du choc se retourne contre ceux qui dominent et qui détruisent l'écosystème et non pas contre les populations.

(via http://shaarli.plop.me/?Q3kxSA)

Masques alternatifs : pourquoi le ministère de la Santé a changé d'avis
thumbnail

« Toute personne qui sort dans la rue devrait être considérée comme un porteur qui s’ignore et mettre un masque sur son visage pour éviter de contaminer ses voisins." »

"L’usage de masques dédiés pour des usages non sanitaires présente un intérêt pour réserver l’utilisation des masques ayant de statut de dispositif médical ou de protection individuel aux personnels de santé."

__

Au lieu de mentir aux citoyens (en leur parlant comme à des demeurés cf. les propos de Sibeth Ndiaye), au lieu de nier l'utilité des masques, au lieu de ne pas assumer, le Gouvernement aurait tout à fait pu prendre la décision des masques alternatifs bien en amont.
Pour ceux qui disent "oui mais les gens se seraient rué sur le peu de maques disponibles". C'est déjà ce qui s'est passé, plus personne ne fait confiance au gouvernement (on a appris à interpréter leurs mensonges).
Quand le Gouvernement disait "les masques ne servent à rien", les citoyens comprenaient bien : "les masques sont utiles sauf qu'on en a pas".

D'où la ruée malgré l’annonce d'inutilité des masques, d'où l'inutilité du mensonge.

De mensonges en mensonges, de foutage de gueule en foutage de gueule depuis des années et des années, on a créé une société de la défiance, si on ne change pas ça, un jour le Gouvernement dira quelque chose de vrai que plus personne ne croira et cela pourrait avoir des conséquences désastreuses.

Face aux défis qui nous attendent après cette crise, celui de créer une société de confiance est un des défis les plus important. Il y'en a marre d'être gouverné par des gens qui passent leur temps à mentir, qui nous croient incapables de réflexion et nous prennent pour des enfants demeurés.

Coronavirus : de Bogota à New-York via Berlin, l'essor des pistes cyclables
thumbnail
Tribune de 15 députés: «Nous avons besoin d’un dépistage massif, pas d’un pistage massif»
thumbnail

source Mediapart :

Une quinzaine de députés proches de la majorité ont publié une tribune dans le Figaro dans laquelle ils s’opposent au projet d’application de suivi de l’épidémie envisagé par le gouvernement, qualifié de « pistage massif ».

« Dernièrement, alors que le gouvernement par la voix de son Premier ministre l’avait exclu, l’utilisation des données numériques personnelles pour tracer les malades du Covid-19 - via une application sur notre téléphone - est fortement envisagée. Nous n’y sommes pas favorables pour plusieurs raisons », écrivent les signataires parmi lesquels ont trouve dix députés LREM, les démissionnaires Paula Forteza, Matthieu Orphelin et Jennifer de Temmerman.

Ils s’inquiètent tout d’abord de la solution technique envisagée, annoncée le matin dans une interview au Monde par Cédric O et Olivier Veran, reposant sur la technologie Bluetooth. Celle-ci, estiment les députés, « n’est pas encore suffisamment précise et des «faux négatifs» risquent de tromper les utilisateurs, qui auront eux l’impression d’être protégés ». De plus, « pour que cette application récupère la quantité de données suffisantes à son bon fonctionnement, il faudrait qu’au moins 60 % de la population la télécharge ».

« La seconde objection est d’ordre éthique, poursuivent les signataires. Poser les bases techniques et juridiques d’un traçage numérique et individuel de la population constitue un changement de paradigme majeur par rapport à nos usages numériques. Cette décision ne doit pas être prise en temps de crise, sous l’urgence, sans consultation publique, ni débat parlementaire ».