7521 liens privés
Certains policiers Lyonnais en total roue-libre.
Des voyous qui portent un uniforme comme dit un habitant du quartier.
D'après des témoignages ici :
https://x.com/raychon698/status/1798262646355222831
"ils emmènent couramment les jeunes dans un bois du quartier pour les tabasser, et les ramènent en leur disant qu'ils vont être poursuivit pour outrage à agent si ils disent quelque chose"
Le témoignage du papa de la victime sur Twitter est à écouter.
Extrait article Mediapart :
" Nathalie, pharmacienne dont l’officine jouxte le bureau de tabac, était juste à côté : « C’était d’une violence inouïe. Ils étaient deux policiers, un qui tasait Iheb, et l’autre qui lui donnait des coups de matraque. Iheb était au sol, sur le ventre. Ça a peut-être duré deux minutes. C’était vraiment de la rage, j’étais horrifiée, pétrifiée. » "
Bref, cette police là n'a rien de républicain, honte à eux.
Pourquoi garder le silence face à la police : à Fontana, en Californie, Thomas Perez, qui a signalé la disparition de son père, a avoué, après 17 heures d’interrogatoire l’avoir tué. Ils ont même utilisé son chien pour le faire craquer.
Second Twitt :
Seul problème : son père était en vie et en parfaite santé, il était juste parti rendre visite à un ami et n’en avait pas averti son fils.
Troisième Twitt :
Thomas Perez a été diagnostiqué une dépression post-traumatisme. Il a poursuivi au civil le comté et peu avant le procès il a transigé à 900.000 euros.
Édifiant
" Ce sont aujourd’hui les syndicats policiers qui font la politique de sécurité publique en France. Un ministre de l’intérieur me l’avait dit à demi-mot il y a quelques années. Le pouvoir a peur de la police, et c’est ce qui explique le silence assourdissant du gouvernement face aux menaces de sédition d’Alliance et Unsa Police. Il me semble même qu’aucun pouvoir n’a autant redouté sa police que celui en place depuis 2017, et pour une raison simple."
« Personne ne conteste qu’un refus d’obtempérer est une infraction grave. (…) Mais en treize occasions, l’année dernière, des occupants de voitures dans ces situations ont été tués par la police française. Cela suggère fortement que quelque chose ne va pas. »
" Le journal allemand évoque « un problème général de violences policières en France ». « Le Conseil de l’Europe l’a récemment confirmé après les manifestations contre la réforme des retraites », souligne-t-il. Et de rappeler les images de la répression des cortèges contre la mégabassine de Sainte-Soline, fin mars : « On y voit des policiers qui donnent l’impression de partir à la guerre. (…) C’est un miracle que personne ne soit mort. » "
« C’est une mauvaise tradition : en France, la police ne protège pas en premier lieu les citoyens, elle protège l’Etat, déplore encore le titre. Ce principe fondamental imprègne toutes les unités, des forces d’intervention spécialisées aux contrôles routiers. La recherche de désescalade est étrangère à beaucoup d’entre elles. Tant que cela ne changera pas, de tels incidents se reproduiront. »
Extrait :
"Dans un rapport d'enquête de juin 2020, l'IGPN estimait que les manifestants «s'étaient réfugiés à l'intérieur de l'établissement en raison de la présence massive de gaz lacrymogènes sur l'avenue». «Sur la totalité des coups de matraque ou de pied assénés, aucun ne semblait justifié, nécessaire ou proportionné», avait tranché la police des polices."
Pompiers obligation de vaccin covid, policiers aucune obligation. #ToutVaBien
« ce n’est pas d’une série de « bavures », de dérapages individuels, que souffre la police française. Il s’agit bien là d’une grave crise du commandement, de dérives hiérarchiques et d’une perte des repères républicains. »
« Révélé trois jours après la dispersion inutilement violente d’un campement de demandeurs d’asile, place de la République à Paris, et après de multiples épisodes documentés de violences policières, notamment contre les « gilets jaunes » et les manifestants opposés à la réforme des retraites, cet insupportable tabassage ébranle l’idée de sécurité publique, l’un des fondements de la démocratie. Il salit la France. »
« L’histoire le montre : le comportement des policiers dépend largement des ordres qui leur sont donnés, de la fermeté des rappels aux procédures et au droit, de l’impunité promise ou non. « Vous serez couverts », déclarait aux policiers parisiens le préfet Maurice Papon quelques jours avant le massacre de manifestants algériens le 17 octobre 1961. A l’inverse, on sait ce que l’absence de drame pendant les émeutes de Mai 1968 doit aux consignes du préfet Maurice Grimaud : « Frapper un manifestant tombé à terre, c’est se frapper soi-même en apparaissant sous un jour qui atteint toute la fonction policière. » »
Comme le dit très bien un commentaire sous la vidéo, rien de plus courant quand la BAC vous arrête, ça se passe souvent de cette manière (les coups de feu en plus ici).
Il m'est arrivé deux fois dans ma vie de me faire arrêter par la BAC, et ça c'est passé les deux fois avec des méthodes similaires à la vidéo. Notamment la première fois, interception du véhicule où je me trouvais par une première voiture banalisée qui nous bloque à l'avant (en s’arrêtant en travers de la route au frein à main) puis bloqué par un second véhicule banalisée à l'arrière (pas d'armes de poing pointées sur nous toutefois).
Et dans ce cas là vous avez l'impression non pas de vous faire arrêter par la police, mais bien de vous faire braquer par des voyous. Les agents de la BAC vous parlent d'ailleurs plus comme des voyous que comme des policiers. Ce qui peut d'ailleurs donner lieu à des situations qui dégénèrent puisque vous n'identifiez pas la police en tant que tel dans les premiers instants (tentative de fuite, défense...).
[Edit] Et je précise que les deux fois les contrôles se sont finalement avérés êtres de simples "contrôle de formalité" puisque je n'avais rien à me reprocher.
" le préfet de police de Paris, a dû demander aux force de l’ordre de tenir « la ligne républicaine ». "
On en conclu donc que d'habitude la "ligne républicaine" n'est pas tenue...
Ma demande de rupture conventionnelle envoyée à @GDarmanin
ce matin.
"Je quitte la @PoliceNationale
pour les mêmes raisons que j’y suis entré : la défense des libertés individuelles et de l’intérêt général."
« 2 propositions de sanctions sur les 378 enquêtes de #violencespolicieres sur la période des gilets jaunes ».
La crédibilité de l’IGPN en 1 chiffre.
" Michel, un producteur de musique, a été tabassé par trois policiers samedi dernier à Paris. Ils l’ont ensuite accusé à tort d'avoir voulu prendre leurs armes et de rébellion.
Mais les policiers ignoraient une chose : tout a été filmé. "
Les violences policières ça n'existe pas ?
Explication en moins d'1 minutes sur ce qu'est "l'interdiction manifestement malveillante" de filmer un policier.
"Il y a eu des violences contre les Gilets jaunes. Plus de #violences pdt ce demi-quinquennat que pdt d'autres. Le gouvernement mène une politique antisociale. Une violence tranquille. La société ne comprend pas la logique de ces gens..." Christiane Taubira (JDD)