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3 minutes d’utilité publique pour comprendre la mascarade et le cirque médiatique qu’on se tape depuis quelques jours avec l’extrême droite et la condamnation de Marine Lepen
Avant son investiture, le nouveau président américain doit choisir ministres, conseillers, ambassadeurs ou directeurs d’agences fédérales. Tour d’horizon de ces personnalités amenées à jouer un rôle …
Les vélos-routes partout en Europe, affichage des points de vues, campings, abris, points d'eau etc.
Le tout bien sûr tiré d'OpenStreetMap.
Encore un champion. A Lyon sur des rues limitées à 50, voir à 30 km/h ... les gas arrivent à faire des tonneaux (la dernière fois c'était y'a 2 mois).
La France a averti mardi qu’elle continuera « à tenir un bras de fer aussi longtemps que nécessaire » avec la Commission européenne pour s’opposer au traité de libre-échange avec les pays du Mercosur contre lequel les agriculteurs français ont recommencé à manifester cette semaine.
Tiens, quand on veut on peut ?
Polarisation, gorafisation ...
Et ça arrive chez nous bientôt ... Hanouna ministre de la défence de Le Pen ?
Idiocracy (https://fr.wikipedia.org/wiki/Idiocracy) n'était pas censé être un manuel ...
Les analyses fusent depuis l’élection de Trump, mais le déni reste grand quant aux raisons réelles de la victoire de ce candidat, si impopulaire aux yeux de la France. La détresse économique et les inégalités sont indéniablement au premier plan de ce phénomène (1/8).
Pendant 40 ans, les chercheurs ont étudié 266 espèces végétales des sous-bois sur 2954 placettes forestières réparties dans toute l’Europe. Surprenants, leurs résultats montrent que plus de deux tiers de ces espèces végétales se sont déplacées non pas vers le Nord, mais vers l’Ouest, à une vitesse moyenne de 3,56 km/an.
L'Irlande vole tous les ans des centaines de milliards d'euros de recettes fiscales à tous les pays du monde, en particulier européens et nous ne faisons rien ou presque pour l'en empêcher.
« La polarisation devient un problème, lorsqu’elle met en jeu des identités plutôt que des idées, reprend Camille Bedock. Les autres ne sont plus considérés comme des adversaires mais comme des ennemis, moralement inférieurs. L’agrégation des intérêts, qui est l’objet de la politique même quand les positions de départ sont dissemblables, ne peut plus se faire. »
« la France est certainement moins à l’abri » que beaucoup de ses voisins face au risque d’un emballement de la polarisation politique. Les risques en sont une dégradation du débat public, une augmentation de la violence en discours et en actes, et la possibilité de voir gagner des dirigeants extrémistes n’ayant été incités à la modération par aucun garde-fou dans leur camp ou dans les institutions.
Podcast. Et s’il suffisait de recycler pour réduire nos déchets ? Ce fantasme, largement alimenté par les industriels, est un écran de fumée dont le mythe perdure. De l'ère du tout-jetable au recyclage chimique, récit d'une fuite en avant qui sert d'alibi pour produire toujours plus de matière plastique.
Tout est dans le titre, ça donne la tendance des 4 années qui viennent.
Musk & Trump c'est le grand love.
Article sur le sujet : https://www.mediapart.fr/journal/international/061124/elon-musk-l-autre-vainqueur-de-l-election-presidentielle-etats-unienne
Si vous avez un accès Mediapart, à lire en entier vraiment, pour sortir du discours de comptoir : "tous racistes, sexistes et rétrogrades".
L’ampleur de la victoire de Donald Trump le 5 novembre 2024 ne peut s’expliquer sans comprendre le facteur économique et la façon dont les démocrates ont abordé cette question. Les 4 points gagnés par le milliardaire new-yorkais entre les scrutins de 2020 et de 2024 montrent qu’une partie de l’électorat a basculé, au cours de ces quatre années, vers les républicains.
La question est alors de savoir ce qui a déterminé cette bascule. De ce point de vue, les premières enquêtes post-électorales confirment ce qui avait été perçu au cours de l’ensemble de la campagne : l’économie a été le premier déterminant du vote pour 39 % des électeurs, selon une enquêt de l'agence AP.
L’hypothèse d’un rejet du bilan économique de la présidence Biden est confirmée par d’autres éléments, notamment par les résultats des référendums locaux. Dans des États qui ont choisi très largement Trump, le droit à l’avortement a souvent été renforcé dans les urnes [Les Américains votaient en plus des présidentiel au niveau fédéral sur les sujets liés à l'avortement], preuve que son discours réactionnaire n’a pas été la principale force motrice de sa victoire
Plus bas :
Pourtant, l’humeur des citoyen·nes n’a pas suivi cet enthousiasme des économistes. Toutes les enquêtes montraient que la plupart des États-Uniens avaient le sentiment que leur niveau de vie s’était dégradé. Mais les économistes et les cadres démocrates sont restés attachés à leur fétichisme statistique : les chiffres ne mentant pas, c’était donc le sentiment des électeurs et électrices qui était faux et manipulé.
Pendant des mois, et encore récemment, le Prix Nobel d’économie Paul Krugman, éditorialiste économique au New York Times, a passé son temps à affirmer que les économistes avaient raison et que les gens avaient tort. Le sentiment négatif sur l’économie n’était que le produit d’une énième fake news trumpiste.
Mais le président élu n’a pas eu besoin de déployer ses talents de menteur pour convaincre l’électorat sur l’économie. Il a mené sa campagne en martelant cette question : « Votre situation est-elle meilleure qu’il y a quatre ans ? » Et une partie de l’électorat y a répondu dans les urnes.
Et :
Cette situation traduit un fait notable par rapport aux années 1990 : la croissance a changé de nature. Elle ne reflète plus aussi clairement le bien-être social. Et pour deux raisons. D’abord, les conditions de production de la croissance sont plus difficiles et supposent parfois une dégradation des conditions de vie des ménages. Ensuite, parce que les difficultés croissantes à produire de la croissance conduisent à une captation de cette dernière par une minorité à des fins d’accumulation. En d’autres termes : l’accélération de la croissance a un coût social croissant.
Et :
Car les hausses de coûts sur les primes d’assurance et les loyers ne sont pas comptabilisées dans le taux d’inflation
Et :
À cette hausse des dépenses contraintes s’ajoute le fait que les prix alimentaires ont explosé en 2022 et 2023 de respectivement 9,9 % et 5,8 %, [...] Une grande partie des États-Uniens ont eu le sentiment de travailler toujours davantage pour pouvoir consommer toujours moins. Ce n’était pas là une fake news mais une réalité très largement vécue.
Et :
La situation économique des États-Unis était donc explosive, et les démocrates étaient dans le déni. En ne cessant de crier aux fake news, ils ont achevé de s’aliéner une population cruciale pour leur victoire. Kamala Harris a tenté de corriger le tir en cessant de se prévaloir du bilan Biden, mais, obsédée par le gain du vote modéré, elle a refusé de prendre la réalité concrète des ménages en considération.
Certains parlent de gueule de bois sur Internet.
A ce niveau c'est plus une gueule de bois mais un coma éthylique sans fin.
Les répercussions géopolitiques de l'élection de Trump donnent le vertige.
J'en ai peur le monde entre dans une longue nuit froide.
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Top ça, à tester ! ;)
Plus d'infos : https://warriordudimanche.net/article2042/findfeed-trouver-les-flux-rss-et-atom-du-site-en-un-clic
Le travail scientifique sur les ouragans montre que leur nombre n’augmente pas. En revanche, leur intensité est décuplée par le réchauffement lié aux activités humaines. Sans cela, ces ouragans dévastateurs qui charrient des quantités d’eau phénoménales auraient été des orages. C’est vrai aussi pour les épisodes cévenols qui sont de plus en plus chargés en eau.
" Comment est-ce possible ? Quel est le besoin de traiter du thon au mercure ? "
Je n'ai pas vu la vidéo liè ci dessus, mais ce n'est pas lié à un "traitement" au mercure, ici la cause de la présence de mercure :
Parce que c’est un poisson prédateur qui, par sa position dans la chaîne alimentaire, va accumuler le mercure de toutes ses proies. Les émissions de mercure ont augmenté de façon drastique depuis deux siècles. Et plus on émet du mercure, plus on en retrouve dans l’océan.
Une fois qu’il est dans l’océan, il rentre dans la chaîne alimentaire en étant absorbé par le plancton qui va être consommé par des petits poissons, qui vont à leur tour être consommés par d’autres poissons, et cela s’accumule au fur et à mesure de la chaîne alimentaire : c’est ce qu’on appelle la bio-amplification. Lorsqu’on arrive chez les poissons au sommet, comme le thon mais aussi le requin, on a des concentrations en mercure démultipliées par rapport aux petits poissons.
Images d'hier à Valence, Espagne.
Répondre à l'argument débile : " La France c'est 1% des émissions de gaz effet se serre, donc ça sert à rien de réduire" :
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la France représente moins de 1% des émissions mondiales, elle n’est pas le seul pays dans ce cas. [...] c'est le cas de plus d'une centaine de pays !
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la France serait [...] responsable de 1.5% des émissions mondiales. Pour un pays qui représente 0.8% de la population mondiale
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Dans une perspective historique, la France a un rôle très important dans l’accumulation du CO2 dans l’atmosphère. Elle atteint la 8e place en 2020, avec 2.34% des émissions mondiales depuis 1750
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L’empreinte moyenne française est AU MOINS 5 fois trop importante pour respecter nos objectifs climatiques
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Le CO2 n’a pas de frontières