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Les cyclistes vus par les automobilistes en ville, illustration en une image.
Lapin, tortue.
Cet article part d'un postula erroné (on plante des arbres en ville pour faire baisser la pollution).
Quand on plante des arbres en ville, c'est le plus souvent, pour tenter de faire baiser la température au sol, généralement accompagné d'une désimperméabilisation du sol.
Article intéressant qui nous fait remarquer, que sans s'en rendre compte on piétonnise temporairement des portions dans des milliers de villes moyennes et petites, chaque semaine.
Sans que les réacs de l'auto n'en disent quoi que ce soit.
On pourrait aussi parler des fêtes de villages, brocantes, foires, vogues, événements sportifs etc. qui ne semblent déranger personne quand ils piétonnisent un lieu. Mais à contrario si une mairie vaguement ecolo piétonnise une journée par an un lieu pour le rendre pour une fois agréable. Les réacs débarquent.
" Le cœur de Paris sera-t-il bientôt sans voiture ? C'est un pari qu'a déjà fait la capitale de la Slovénie. À Ljubljana, même les taxis restent en dehors du centre-ville. "
" C'est une capitale quasi-silencieuse. Le centre-ville de Ljubljana (Slovénie) a le même niveau sonore qu'une forêt. Plus aucune voiture n'y circule, pas même des taxis. Les habitants sont enthousiastes, et louent une ambiance paisible. En effet, ..."
" Echangeurs, lotissements, zones commerciales, alignements de ronds-points… Depuis les années 60, la ville s’est mise à dévorer la campagne. Une fatalité ? Non : le résultat de choix politiques et économiques. Historique illustré de ces métastases périurbaines. "
(via Jeekajoo)
Souvent présentés comme des territoires de relégation, la banlieue et le périurbain affichent les niveaux de vie, en moyenne, les plus élevés. Les villes-centre restent des territoires très hétérogènes, accueillant notamment une forte proportion de population à très bas revenus. De quoi revoir bien des explications toutes faites sur les dynamiques de la société française.