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" Nathalie est gérante de la petite l'épicerie Vival Casino à Longny au Perche, dans l'Orne. Fille du pays, elle connait presque tous ses clients depuis l'enfance et rend un service inestimable à la population. Au détriment parfois de sa santé, elle fait vivre son village et le commerce de proximité. "
" Selon plusieurs témoignages recueillis par « Sud Ouest », durant plusieurs heures, un jeune commis aurait été attaché nu à une chaise, devant des membres de la brigade placée sous l’autorité et en présence du chef Aurélien Largeau. Des images ont été enregistrées puis partagées sur les réseaux sociaux dans lesquelles la victime apparaîtrait avec une pomme dans la bouche et une carotte dans les fesses. "
Sympa l'ambiance dans la restauration. Et après ça vient pleurer que ça a du mal à recruter.
" De leur côté, trois députés LFI – Mathilde Panot, Hadrien Clouet et Caroline Fiat – ont déposé une proposition de loi en juillet pour adapter le travail aux fortes températures. Ils proposent, entre autre, la diminution du temps de travail en période de fortes chaleurs, l’arrêt du travail tout court en cas de vigilance rouge pour les métiers les plus exposés comme ceux du BTP, ou encore la possibilité pour l’inspection du travail de prononcer elle-même l’arrêt d’un chantier en cas de canicule.
Il est peu probable que cette proposition de loi d’une brûlante actualité soit mise à l’ordre du jour par la majorité à la rentrée "
" Le ministre du travail s’est lui déjà prononcé clairement contre ces dispositions, les balayant d’un revers de main sur BFMTV, les qualifiant de « fausses bonnes idées » : « Dire qu’on arrête de travailler à partir d’une certaine température, ça ne marche pas. Ça ne tient pas compte des caractéristiques de chaque personne… Fixer une règle générale, cela n’est pas applicable, cela n’est pas vérifiable, cela n’est pas efficace. » "
Article qui vise à démystifier la supposée complexité à gérer son propre serveur mail. Très intéressant.
J'aime bien cette citation : " L’auto-hébergement n’est pas DUR mais requiert du TRAVAIL [en amont], deux choses différentes. "
Comme pas mal de choses dans la vie.
Des téléconseillers de Veolia en « situation dangereuse » face à la pression managériale | Mediapart
Les salariés du service client du fournisseur d’eau, sous-traité à la multinationale Teleperformance, sont incités à proposer une assurance malgré les difficultés financières des clients, aggravées par l’inflation. Ce « conflit de valeurs » durcit une situation de souffrance professionnelle déjà criante, alerte l’inspection du travail
" Quelles sont les atouts du médiocre qui lui permettent d’accéder au pouvoir ?
Calculer. Abdiquer sur d’éventuelles convictions. Faire siens les termes et discours d’intérêts de plus puissants que lui. Se penser toujours en fonction de l’échiquier où il se trouve. Parler la langue qui est douce aux oreilles de ceux qui peuvent lui faire gravir des échelons. Jouer le jeu, selon cette expression mafieuse qui suppose l’existence de règles floues et souvent changeantes en marge des modalités formelles et des principes éthiques. Du point de vue managérial, c’est maîtriser la métrique, le formatage, l’uniformisation d’une pensée se déployant toujours à plus vaste échelle. La volonté ou la nécessité de rendre interchangeables les agents d’une structure productive.
La mondialisation des structures industrielles et commerciales toujours plus restreintes en nombre, mais à la portée toujours plus grande, explique par exemple que gestionnaires, employés et clients fonctionnent dans des restaurants-minute selon les mêmes processus au Texas ou à Nagano. On n’a plus de métiers, mais des fonctions. D’abord en usine, c’est archi-documenté, mais aussi dans l’univers bureaucratique, dans les services et le tertiaire, et puis à travers des processus de consommation uniformisés. Les goûts, les désirs, les affects, les sens font l’objet d’un puissant formatage. Du point de vue de la théorie des organisations, la gouvernance est en cause, c’est-à-dire la soumission de toute réalité sociale et politique à des impératifs de gestion.
Comment, à l’inverse, sont considérés ceux qui ne sont pas médiocres et comment cherche-t-on à les soumettre aux codes de la médiocratie ?
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Le médiocre volontaire s’abreuvera dans ce vocabulaire pour parler la langue du moment, quitte à en changer dès lors que les modes passeront. Le sujet résistant se braquera au point d’être inemployable et de se donner la vie dure, rançon du fait de pouvoir se regarder dans la glace. Le médiocre qui s’ignore souffrira de ce vocabulaire souvent puéril, insignifiant ou pauvrement managérial et s’en remettra aux psychotropes pour continuer à marcher droit, en se reprochant ses anomalies.
je m’emploie à faire comprendre à ceux de mon entourage professionnel qui s’entêtent à utiliser l’oxymore idéologique de « développement durable » [...] qu’il vaudrait mieux, même s’il s’agit encore de s’y opposer pour ma part, traduire l’expression de référence sustainable development par « exploitation endurable ».
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Par rapport au terme "extrème centre" :
"il s’agit d’un extrême au sens où l’extrémisme en politique n’a pas seulement trait à l’endroit où vous poussez le curseur sur l’axe gauche-droite, mais à une attitude générale : se montrer intolérant à tout ce qui n’est pas soi."
C’est à notre tour, désormais, d’altérer fondamentalement le régime établi en s’affranchissant collectivement de la ploutocratie, de l’oligarchie et du totalitarisme financier.
La réforme des retraites n’est pas indépendante de celle de l’assurance-chômage, qui entre en vigueur mercredi 1er février. C’est bien plutôt son complément, visant à discipliner le monde du travail au profit d’un système productif en crise structurelle.
MercrediMercredi 1er février, la deuxième réforme de l’assurance-chômage entre en vigueur, réduisant de 25 % la période d’indemnisation des nouveaux chômeurs. Cette mesure vient après une première réforme qui avait, en moyenne, réduit de 16 % les indemnités des demandeurs et demandeuses d’emploi. L’application de cette violente réforme, au moment même où le gouvernement s’apprête, malgré l’opposition majoritaire de l’opinion, à repousser de deux ans l’âge légal de départ à la retraite, rappelle la violence structurelle de l’exécutif à l’égard du monde du travail.
Derrière le masque moralisateur de la « valeur travail » affiché à tout propos, se révèle une action déterminée et concrète contre celles et ceux qui, chaque jour, sont soumis à la réalité du travail dans le capitalisme contemporain. Cette « valeur » qui serait porteuse de tout bien et de tout mérite n’a d’ailleurs pour fonction que d’invisibiliser cette réalité, celle de l’intensification du travail, des burn-out, des pressions physiques et morales et des accidents du travail.
Une même invisibilisation préside aux deux réformes, celle de l’assurance-chômage et celle des retraites. Le « travail » serait une activité neutre et abondante, dont on pourrait à volonté moduler la quantité. En réalité, il n’en est rien : la quantité de travail disponible et la qualité de ce travail ne sont nullement déterminées par les travailleurs, mais bien par le système productif, lui-même contrôlé par les capitalistes.
Dès lors, ces réformes sont non seulement étroitement liées, mais ont aussi une fonction précise dans le cadre du capitalisme actuel. C’est sans doute ce qui explique la rigidité de l’exécutif dans l’application de l’une comme de l’autre. Depuis son arrivée au pouvoir en 2017, Emmanuel Macron a souvent varié sur nombre de sujets, mais il n’a jamais bougé sur sa volonté d’affaiblir les positions des travailleurs face à leurs employeurs.
Le chômage, sous-produit de la réforme des retraites
Or ces deux réformes vont encore dans ce sens. Lorsque l’on augmente l’âge légal de départ à la retraite, on contraint les travailleurs âgés à travailler davantage. Les effets de cette mesure sur le marché du travail sont assez discutés par les économistes, mais en réalité, il n’existe que deux possibilités. La première, c’est que les travailleurs restent en poste. C’est ce que prétend le gouvernement en affirmant que le taux d’emploi des plus âgés augmente avec le report, ce qui est, par ailleurs, assez logique, puisque les gens doivent travailler davantage pour prétendre à leur pension.
Mais comme on l’a vu, ce ne sont pas les travailleurs qui décident de leur emploi. Il existe donc une autre possibilité : celle que les entreprises continuent de se débarrasser de leurs effectifs les plus âgés, considérés comme trop chers et pas assez productifs. Dans ce cas, les futurs retraités sont versés dans la catégorie « demandeurs d’emploi ».
En fait, il est inutile, pour ce qui nous occupe, de trancher cette question. Dans le premier cas, le maintien en emploi deux ans de plus réduit l’offre de postes libérés par les départs à la retraite pour les autres générations. Dans le second cas, la réforme augmente le chômage des plus anciens. Autrement dit : la réforme crée du chômage à court terme.
L’étude d’impact du projet de loi de réforme des retraites évite très soigneusement cette question (comme d’ailleurs toutes les conséquences macroéconomiques de la réforme), s’en tenant à une hypothèse « de long terme », entièrement arbitraire, d’un taux de chômage de 4,5 %. Les projections de l’OCDE ne laissaient cependant aucun doute sur l’effet négatif du recul de l’âge légal sur le chômage à court terme. Or, en matière économique, le court terme représente la plus grande probabilité.
Cette étude d’impact signale, au reste, que le taux de chômage des générations partant à la retraite est de 13 %, soit plus du double de celui de la population générale. Autrement dit, si l’activité des personnes les plus âgées augmente avec le report de l’âge, le chômage augmente proportionnellement davantage. Le tout sans compter l’effet sur les autres générations.
Pression sur le monde du travail
C’est là que la réforme des retraites entre en cohérence avec celle de l’assurance-chômage. Elle participe de la contrainte qui sera imposée sur les demandeurs d’emploi, futurs retraités ou non. En terme macroéconomique, elle permet de maintenir une « armée de réserve » qui fait pression à la baisse sur les salaires. Cette pression s’exerce d’ailleurs moins par la quantité de main-d’œuvre que par l’acceptation forcée des bas salaires.
On peut ici le résumer aisément. La salariée (ou le salarié) qui aura perdu son emploi après ses 60 ans se retrouvera avec des droits au chômage réduits et un parcours allongé avant sa retraite. La pression sera donc plus forte pour qu’elle (ou il) accepte le premier emploi disponible, y compris le plus pénible ou le plus mal payé, puisque l’enjeu est ici de survivre jusqu’à la pension. Ce qui, en passant, exerce une pression sur les emplois disponibles pour les autres générations, rendant les augmentations de salaire et les améliorations des conditions de travail moins urgentes.
En cela, la réforme répond à deux des principales préoccupations du moment du capital. La première est celle de résister à toute demande de hausse salariale, alors que le taux de chômage recule. La seconde est de faire en sorte que les travailleurs acceptent les emplois proposés, qui sont souvent pénibles et mal payés. Ces deux préoccupations peuvent se résumer en une seule : le capitalisme contemporain est un capitalisme de bas régime, avec des gains de productivité faibles, voire négatifs.
Dans ce cadre, les emplois sont à la fois abondants et nécessairement mal rémunérés et avec des conditions de travail détériorées. Dès lors, les deux problèmes se posent immédiatement : la préservation des profits suppose une résistance à toute revendication d’amélioration des conditions de travail et des salaires. Mais cette réalité même rend peu attractifs les emplois proposés, ce qui peut conduire à des manques de main-d’œuvre dans certains secteurs. C’est là tout le paradoxe de ce plein-emploi en trompe-l’œil que nous promet l’actuel système économique.
La seule solution à ce problème est alors la contrainte : il faut obliger les travailleurs à accepter l’état existant de l’emploi et, pour cela, il faut faire pression sur ses conditions de subsistance. C’est absolument la fonction des trois réformes mises en œuvre depuis 2020 par le chef de l’État. Durcir les conditions d’accès et d’indemnisation à l’assurance-chômage, et rendre plus difficile l’accès à la retraite conduit alors à vouloir discipliner le monde du travail dans l’intérêt du capital. Il permet d’exonérer ce dernier de toute réflexion sur le contenu des emplois qu’il crée.
En cela, ces réformes sont des formes évidentes de violence sociale et de politique de classe. Il n’y a là rien d’étonnant de la part de ce pouvoir qui mène depuis des années cette même politique, non seulement dans le domaine du travail (dès les ordonnances de 2017), que dans celui, par exemple, de la politique fiscale.
Dès lors, le débat sur le financement du système de retraite et ses déficits, utilisé pour justifier, d’ailleurs fort maladroitement, la réforme, n’est qu’un rideau de fumée. Une des raisons de cette réforme est bien davantage, comme Emmanuel Macron l’avait assez benoîtement revendiqué pendant des mois, de contraindre la population à « travailler plus ». Un surcroît de travail rendu nécessaire par un système économique en crise structurelle.
On le comprend : « le plein-emploi » promis par le gouvernement et utilisé pour justifier les réformes de l’assurance-chômage et de la retraite est une fable. C’est un plein-emploi sans augmentation des salaires, un plein-emploi de contraintes et de pression et, finalement, un plein-emploi de misère. Car derrière les boniments se cachent bien la guerre sociale et la violence de classe.
L’enjeu de la lutte actuelle contre la réforme des retraites dépasse donc le seul enjeu du report de l’âge légal de départ à la retraite. Il s’agit aussi de refuser une future dégradation de la condition des travailleurs et, plus globalement, de s’interroger sur le contenu des emplois.
En réalité, cette mobilisation a le potentiel, de par l’objet qu’elle conteste, de poser des questions devenues fondamentales : que devons-nous produire, comment et dans quel but ? Des questions que la crise écologique rend incontournables. Et c’est bien à cela que l’avenir du monde du travail et celui de l’humanité sont directement liés. Et c’est pourquoi cette lutte concerne toute la société, et en particulier la jeunesse.
Romaric Godin
Documentaire sur notre bullshit society et sur les effets qu'elle induit, burnout etc.
“Il y a des structures qui poussent les gens à détester leur travail même quand ils l'aiment au départ.”
Et c'est pas une vision d'intelo parisien mais une réalité quotidienne de milliers des personnes (avec qui il m'arrive d'échanger et c'est bien cela qu'ils rapportent).
"Les réformes de l'assurance-chômage et du RSA ont un but : réduire l'autonomie des bénéficiaires. Avec un État en véritable DRH du capitalisme."
"Dès le début du capitalisme, la mise au travail des paysans et des ouvriers a été un enjeu politique majeur. Dans cette tâche coercitive, l’État a toujours joué un rôle important. L’un des moyens les plus efficaces, sans en passer par l’esclavage, réside dans la suppression de l’autonomie des travailleurs. Les enclosures d’abord, la loi Le Chapelier ensuite, qui interdit l’organisation collective des travailleurs, et, enfin, le livret d’ouvrier, qui empêche la libre mobilité des travailleurs « pour lutter contre la désertion », comme l’affirmait la loi de 1803. On appelle désormais cela la démission. Réelle ou fantasmée, elle a toujours été crainte par le capital."
« Vous présentez le fait de devoir "travailler plus" comme une impérieuse nécessité. D’après le Conseil d’Orientation des Retraites, il ne s’agit pourtant que d’un choix politique »
" Vidéosurveillance, bracelet connecté, application vérifiant l’apparence des hôtesses d’accueil… Sur le lieu de travail, la technologie est aussi un outil de management et de contrôle. Les cas d’utilisation des nouveaux outils technologiques contre les salariés se multiplient. "
"chez Pénélope Welcome, les hôtesses* de l’entreprise ne sont pas des salariées comme les autres. L’agence de placement, l’une des plus importantes du secteur en France, attend d’elles une mission simple : « devenir la vitrine » de l’entreprise cliente dont elles assurent l’accueil.
Une tâche dans laquelle leur employeur entend les soutenir grâce à une application miracle. « Pour vous aider dans ce challenge quotidien, nous avons conçu une application, Pénélope Selfie, à télécharger sur votre téléphone, lit-on dans un document de présentation du logiciel remis aux salariées. Cela vous permettra de réaliser chaque jour une photo de vous qui montrera votre coiffure, votre bonne mine, votre tenue et vos chaussures. » Un cliché que les salariées doivent prendre, précise le flyer, « dès que possible » après leur arrivée sur site."
"Le marché de la surveillance au travail est aussi en plein boom. Sysnav, une entreprise spécialisée dans les solutions de navigation, de géolocalisation et de capture du mouvement, propose, par exemple, des bracelets permettant de géolocaliser les personnes travaillant sur des postes isolés.
Née à Amiens, l’entreprise Teleric, qui fabrique de longue date des pointeuses, s’est, elle, spécialisée dans les pointeuses de nouvelle génération comme la Mini V4. L’appareil, que l’entreprise revendique avoir vendu à plus de 10 000 exemplaires, permet « de suivre en temps réel l’activité d’un agent tout au long de sa journée de travail ». Sa bonne utilisation est censée « procurer rapidement » à l’entreprise l’utilisant « des gains en termes de marge et de chiffre d’affaires »."
"L’entreprise Seris, qui emploie plus de 8 000 agents de sécurité en France, a pour sa part fait le choix d’une technologie plus ancienne. En juin, la direction de l’entreprise a présenté devant le CSE un projet d’« utilisation des systèmes de vidéosurveillance à des fins de contrôle de l’activité des salariés ». Projet qui rappelle la surveillance dont assurent être victimes les agents de sécurité de la fondation Louis Vuitton – la direction a démenti ces allégations.
Le document détaille le projet du leader français de la sécurité privée. L’entreprise explique vouloir « utiliser les systèmes de vidéosurveillance comme mode de contrôle de l’activité des salariés et comme mode de preuve à l’appui d’une sanction ou d’un licenciement disciplinaire », en s’appuyant sur les réseaux de caméras déjà existants chez leurs clients."
En fin d'article, est également donné l'exemple de l'aéroport Saint-Exupéry de Lyon, où les caméras de vidéosurveillance initialement destinées à filmer les passagers sont détournées pour fliquer les employés.
" Les résultats de cette enquête révèlent un mal-être profond : alors que la grande majorité déclare avoir rejoint le service public pour servir l’intérêt général (68 % des sondés), la quasi-totalité (97 %) des répondants s’est déjà dit au moins une fois dans un cadre professionnel : “c’est absurde… ou si cela a un sens ce n’est pas celui pour lequel je me suis engagé”. 80 % des répondants déclarent même être confrontés “régulièrement” ou “très fréquemment” à ce sentiment d’absurdité dans l’exercice de leur travail. "
"Plus de 3000 témoignages écrits ont été recueillis, dans lesquels les agents nous expliquent, parfois longuement, ce qui provoque chez eux la perte de sens.Ils mettent en avant le manque de moyens, un défaut de vision, l’impression de servir un intérêt particulier plus que l'intérêt général, le poids de la structure ou de la hiérarchie ainsi que le manque de reconnaissance. Ces motifs s’entrecroisent et se recoupent fréquemment."
Une entreprise lyonnaise passe à la semaine de 32 heures - Reportage #cdanslair 14.09.2021 - YouTube
Il s'agit de l'entreprise LDLC.
" Plus de 85% des travailleurs islandais sont passés à la "semaine de 4 jours": avec une hausse de productivité sans baisse de salaire, c'est "succès écrasant" selon des chercheurs "
« Cela fait des années que ces employés sont mal traités. Des années que les patrons chouinent parce qu’ils n’arrivent pas à recruter, en proposant des salaires au ras des pâquerettes. Mais on n’attrape pas les mouches avec du vinaigre ! Au bout d’un moment, ça casse. Eh bien là, ça y est, c’est cassé. »
reduction temps de travail : https://youtu.be/35iuhmsHaCQ?t=2217