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" L’OMS insiste aussi sur le risque environnemental, grandissant pour la santé humaine. Un quart des décès dans le monde sont déjà attribuables à la dégradation de l’environnement : qualité de l’air, de l’eau, exposition aux produits chimiques, etc. Pour la première fois, l’OMS intègre les risques liés au dérèglement climatique, qui menace la santé physique et mentale de 3,6 milliards de personnes dans le monde : multiplication des inondations, des sécheresses, des incendies, progression des maladies transmises par les moustiques, les tiques et les rongeurs, etc."
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L'hiver les vagues de covid ..., l'été les vagues de chaleur ... \o/
Ce que c'est de vivre en ville sans clim en appart mal isolé en ce moment :
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obligé de dormir fenêtres ouvertes pour essayer de faire baisser un peu la température la nuit
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réveillé dès 6h du matin, avec les chantiers autorisés dès cette heure-ci car canicule (et je ne parle pas des fêtard(e)s/poivrot(e)s [1] qui gueulent ou scooter à fond pendant la nuit)
--> journées fatigantes avec la chaleur difficilement soutenable + nuit fatigantes et écourtées à cause des fenêtres ouvertes/bruits extérieurs
x par un nombre important d'habitants qui j'imagine vivent les mêmes difficultés que moi
= santé globale de la population qui se dégrade
[1] je rajoute (e) parce que l'autre jour c'est une poivrote qui a gueulé dans la rue pendant une heure en pleine nuit, sans vouloir arréter
Dans les Hauts-de-France, un certain nombre d’enfants en bas âge ne se nourrissent que de boissons sucrées. Ce qui détruit durablement leur dentition naissante, au grand désarroi des professionnels, qui peinent à juguler le phénomène.
Des bébés aux dents de lait tachées, noircies, dont il ne reste que les racines. Des bambins de trois ou quatre ans exhibant déjà des prothèses dentaires ou des dents de travers, qui poussent trouées comme du gruyère… Ces enfants, les professionnel·les de santé et de la petite enfance qui les reçoivent ou les côtoient au quotidien les surnomment parfois « les bébés Coca ».
« Ça devrait être interdit », lâche Angéline Leblanc, agacée. Elle n’est pas la seule à le penser. « On milite pour que des étiquettes “interdit aux moins de 6 ans” soient apposées sur les bouteilles de soda »
Certains pays se sont déjà emparés du sujet. Deux États mexicains interdisent par exemple la vente de boissons sucrées aux moins de 18 ans depuis le 8 août 2020. Une première mesure avait déjà été appliquée en 2014, qui imposait une taxe sur les boissons sucrées. Le Mexique est à ce jour le seul pays du monde à avoir pris de telles dispositions, principalement pour lutter contre l’obésité infantile. D’autres, comme le Chili, tentent d’inciter à la précaution au moyen d’étiquettes choc
La marche, le vélo pour se déplacer quand on peut, c'est déjà une piste.
"Un extrait d’un livre de salubrité publique : Sur les dents"
Sidérant de lire ça.
" Les vaccins anti-Covid-19 sont devenus un enjeu crucial pour les grandes puissances, qui, au travers de leurs multinationales, affirment leur hégémonie économique. Cette stratégie se cache derrière des concepts ambigus, tels que le « bien public mondial » (BPM) ou la prétendue solidarité du mécanisme Covax, mais reste ferme sur l’application des droits de propriété intellectuelle (PI), élément essentiel de contrôle du marché. Elle se traduit dans les faits par un soutien financier massif aux multinationales du médicament. Révélant, en pleine crise sanitaire mondiale, le triomphe sans partage du néolibéralisme, avec les États qui se posent en soutien des marchés. "
Au dela du titre de l'article, bonnnes explications sur ce que sont les gras saturés, monoinsaturés et polyinsaturés.
Pour mémoire, quelques extraits :
"Selon le docteur Jurg Loliger, du centre de recherche Nestlé en Suisse, la plupart des huiles végétales laissées sur les tablettes dans les foyers sont déjà rancis même à leur achat! Il vous est donc recommandé que lorsque vous choisissez une huile d’opter pour les premières pressions à froid et des contenants en verre opaques. L’huile de coco, quant à elle est stable grâce à sa saturation, lui permet de se conserver plusieurs mois voir plusieurs années sans danger. "
" Grâce à son haut degré de saturation, l’huile de coco sera la championne pour conserver ses propriétés même à haute température. Il vous est donc recommandé de l’utiliser au lieu des huiles végétales pour faire cuire des aliments, réduisant ainsi votre apport de radicaux libres. "
" "40% des cancers sont évitables." nous dit le professeur Thierry Philip¹. Aujourd'hui, Journée Mondiale de lutte contre le cancer, Emmanuel Macron présentait un plan de lutte et les enveloppes financières idoines. Parmi les causes de mortalité du cancer figurent en premier lieu l'alcool et le tabac, mais il y a aussi la pollution, la mauvaise alimentation ou encore le manque d'activité physique. Le président rêve d'une génération sans tabac d'ici à 2030. Et si finalement l'important était plutôt de souhaiter une génération à vélo ? "
" une étude de l'Université de Glasgow, parue en 2017, indiquait qu'une personne se rendant à son travail à vélo diminue de 45% son risque de développer un cancer. Une autre étude anglaise, de l'université de Cambridge parue en 2015, arrivait à la conclusion que l'inactivité tue deux fois plus que l'obésité. "
" En quoi l’épidémie de coronavirus est-elle le fruit d’une biodiversité sous pression ? Faut-il s’attendre à l’émergence de plus en plus de zoonoses ? Quelles réponses apporter au niveau de la biodiversité pour éviter des crises sanitaires plus graves encore ?
Gilles Boeuf, biologiste, président du Conseil Scientifique du Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement, et du Conseil Scientifique de l'Agence Française pour la biodiversité "
Ce ne sont pas des militants écolo qui le disent mais l'ordre national des médecins, extraits :
" Inutile de se voiler la face: ça chauffe! Si le climat continue à se dérégler, l’humanité subira une multiplication des pathologies dues à l’environnement qui pourraient réduire à néant les progrès accomplis ces dernières décennies en termes d’espérance de vie mondiale. Le point sur la question, à l’heure où la France s’apprête à déployer son quatrième plan santé environnement."
" Depuis mon cabinet à Angers, j’observe une nette recrudescence des pathologies allergiques imputables aux pollens d’herbes et d’arbres. Et cette recrudescence est, pour une large part, liée aux effets du réchauffement climatique. On observe notamment un allongement notable des périodes de pollinisation. Il n’est plus rare de diagnostiquer des allergies au noisetier en janvier, ce qui peut poser des problèmes aux médecins non spécialistes qui sont susceptibles d’incriminer par réflexe un virus. De même dans ma région, les oliviers commencent à fleurir quand les hivers sont cléments et j’ai peur que cela ne soit pas sans impact, en particulier chez les personnes déjà sensibilisées au frêne. Je pense qu’il faut nous préparer à une véritable explosion des allergies croisées dans un avenir proche..."
"La Fédération internationale de la Croix-Rouge a été l’une des premières grandes organisations à se préoccuper – dès 1999 – des conséquences du changement climatique sur les populations vulnérables. Aujourd’hui, nous voulons attirer l’attention sur le fait qu’une différence de 0,5°C de hausse de température peut avoir des conséquences extrêmement importantes sur la santé des populations. Le dernier rapport spécial du Giec souligne que le pourcentage de population mondiale exposée à des vagues de chaleur extrême passe de 14% pour un réchauffement des températures mondiales de 1,5°C, à 37%’ pour un réchauffement de 2°C. Aujourd’hui, l’OMS évalue déjà à 250000 le nombre de décès supplémentaires par an dans le monde entre 2030 et 2050. Le recul de la mortalité enregistré ces cinquante dernières années grâce aux progrès médicaux pourrait se voir annulé. "
" De manière moins connue, les risques climatiques altèrent également la santé mentale, notamment en raison de l’augmentation de la quantité libérée de cortisol sous l’effet de la chaleur. Deux études américaines de 2018 indiquent ainsi qu’un réchauffement de 1°C est associé à une hausse de 2% des problèmes de santé mentale et à une progression du taux de suicides qui atteint 2,1%au Mexique. "
" l’être humain s’est aussi auto-intoxiqué en recourant massivement à la chimie de synthèse. En la matière, les deux sujets phares sont les pesticides – auxquels presque personne n’échappe, comme le souligne une étude de l’INVS qui a retrouvé des traces de pesticides dans 90% des échantillons d’urine testés au cours d’une étude – et les perturbateurs endocriniens qui se trouvent dans une grande variété de produits du quotidien, étant entendu que bon nombre de pesticides sont aussi soupçonnés d’être des perturbateurs endocriniens, comme c’est le cas du fameux glyphosate... «Ces derniers constituent un domaine complexe qui fait encore l’objet de discussions sur le plan scientifique, en particulier sur les questions des seuils d’effet toxicologique (impacts à plus ou moins fortes doses) et des interactions entre les différents perturbateurs endocriniens (effets «cocktail»potentiels)», indique Sébastien Denys, directeur Santé environnement à Santé publique France. Mais en dépit de ces incertitudes, l’inquiétude vis-à-vis des perturbateurs endocriniens augmente dans la communauté médicale comme dans le grand public."
"Aujourd’hui, la dégradation de l’environnement représente un problème de santé publique majeur. Le rapport que l’OMS a publié en 2016 révèle que, chaque année, près d’un décès sur quatre est favorisé ou provoqué par des facteurs de risques environnementaux (pollution de l’air, de l’eau, des sols, exposition aux substances chimiques, changement climatique, rayonnement UV). Au total, cela représente 12,6millions de morts prématurées qui pourraient être évitées! À elle seule, la pollution de l’air – due aux combustibles solides utilisés pour la préparation des repas ou le chauffage ou à la pollution extérieure des centres urbains – est responsable de 7millions de décès, principalement chez les 50-75 ans et chez les enfants de moins de 5 ans."
"Plus les citoyens comprendront les effets de l’environnement sur la santé, plus on avancera. Sur ce plan, les professionnels de santé et notamment les médecins ont un rôle actif à jouer en termes d’éducation et de conscientisation auprès de leurs patients. Mais j’aimerais aussi qu’ils s’investissent davantage dans la sphère publique, ne serait-ce que pour témoigner des dégâts causés par la pollution et les autres facteurs de risques environnementaux. Ils sont aux premières loges et leur légitimité leur ouvre une large audience: ils peuvent contribuer à orienter les décisions des politiques."
" Thomas Portes. Ce soir dans l’épisode 23 de « Et demain on fait quoi ? », je reçois ce soir Laurent Thines, Neurochirurgien et membre du collectif @CollectInterHop."
C'est édifiant d'entendre l'ensemble de cette interview. L'exemple de l’hôpital montre clairement l'esprit du néo-libéralisme bête est méchant dans lequel on vit.
" Pour la première fois, l'Agence régionale de Santé a publié des recommandations sur des compléments alimentaires à ne pas consommer en cas de coronavirus.
"Il s’agit des plantes contenant des dérivés de l’acide salicylique (analogues de l’aspirine), telles que le saule, la reine des prés, le bouleau, le peuplier, la verge d’or, les polygalas, mais aussi des plantes contenant d’autres anti-inflammatoires végétaux, telles que l’harpagophytum, les échinacées, le curcuma, la griffe du chat (appelée aussi liane du Pérou), les plantes des genres Boswellia et Commiphora (connues pour leurs gommes-oléorésines appelées respectivement « encens » et « myrrhe »)", précise l'Agence. "
Elle recommande aux personnes consommant ces compléments alimentaires :
dans un but préventif, de suspendre immédiatement la consommation de compléments alimentaires contenant ces plantes dès l’apparition des premiers symptômes du Covid-19
dans le contexte de pathologies inflammatoires chroniques, de discuter impérativement avec leur médecin de la pertinence de poursuivre ou non leur consommation.
le 1er avril 2010 [sous Sarkozy, leur rôle ...] est de moderniser et rationaliser l'offre de soins et de veiller à la bonne gestion des dépenses hospitalières et médicales.
[...]
Pour (tenter de) rationaliser l'offre de soins, autrement dit les dépenses hospitalières et médicales, la réforme HPST (en droit) et les ARS (dans les faits) ont largement retiré aux médecins, notamment aux chefs de service, leur pouvoir sur l'hôpital et ses services de soins, confiant ce pouvoir d'abord au directeur de l'hôpital17, et privilégiant une approche gestionnaire (par contrats pluriannuels d'objectifs et de moyens18), voire administrative, et financière plutôt qu'une approche purement médicale.
[...]
La mise en place des agences régionales de santé a bousculé les pratiques à l'intérieur même des établissements hospitaliers. Soutenant au départ le rôle des ARS comme autant de relais locaux des stratégies sanitaires et sociales de l'État, et appuyant les établissements dans leurs choix de gouvernance, la Fédération hospitalière de France s'est régulièrement alarmée22 de l'étatisation et de la dérive bureaucratique des ARS qui imposent aux établissements des choix parfois uniquement guidés par des impératifs économiques et de rentabilité. Depuis 2010, la FHF demande que le rôle et les prérogatives des ARS soient revus23, et souligne régulièrement les dialogues difficiles entre les directions des établissements et les ARS, au point que la mission d’évaluation et de contrôle des lois de financement de la Sécurité Sociale (MECSS) le souligne à son tour et que la question soit discutée au Sénat24. Ainsi, lors d'une séance25, l'intervention de Guy Collet donne un reflet d'un bilan général des ARS très mitigé :
« Le fonctionnement des ARS est marqué par un excès de bureaucratie » […] « Les hôpitaux ont ainsi le sentiment d'une intrusion constante dans leur management et leur gestion » […] « elles doivent laisser aux professionnels le choix des voies et moyens pour atteindre ces objectifs. »
[Edit]
"Les ARS n'ont "pas la bonne méthode" : face à la crise, Jean Rottner déplore une vision "purement budgétaire" "
« Est-ce que porter un masque dans un magasin sans avoir de symptôme n'est pas
aussi idiot que confiner tout le monde chez soi alors qu'une quarantaine ciblée est une > mesure dont la mise en place est recommandée en amont ? »
Qu'on ai des symptômes ou pas, porter un masque dans un magasin (ou dans la rue d'ailleurs) est la base. Ce devrait être la règle numéro une.
Le virus se transmet par : postillons, toux, éternuements.
Directement : éternuement d'une personne sur une autre, par exemple.
Indirectement : d'un objet contaminé aux mains puis aux yeux ou nez ou bouche (le virus ne traverse pas la peau, il se transmet forcément par yeux ou nez ou bouche)
- On peut ne pas avoir de symptômes mais être porteur sain, donc transmettre le virus, masque utile
- Si on est pas porteur du virus on a besoin de se protéger des autres (postillons, toux, éternuements), masque utile
- Avec un masque on pense plus facilement à ne pas se toucher la bouche, le nez
- Utile dans la rue car les postillons, toux, éternuements peuvent aller à plusieurs mètres (vent) ce sont des médecins qui l'expliquent
En bref :
On devrait avoir un masque dès qu'on est en dehors de chez soi. Se laver les mains avant d'enlever le masque une fois rentré chez soi. Ne pas se toucher le nez, bouche, yeux quand on est à l’extérieur de chez soi (on a potentiellement touché des objets contaminés on doit considérer ses mains comme contaminées tant qu'on est pas rentré et qu'on les a pas lavées).
Qu'est-ce que la "maladie du soda" ou Nash qui touche 1 adulte sur 5 en France? | Le Huffington Post
« “Maladie du siècle”, “prochaine épidémie mondiale”: la stéatose hépatique non alcoolique (NASH), parfois appelée maladie du foie gras ou du soda est encore trop peu connue. »
« Longtemps persuadés que les cirrhoses ne pouvaient être liées qu’à la consommation d’alcool, ils estiment, désormais, que la maladie du soda pourrait devenir la première cause de greffe du foie, devant l’hépatite C. »
Coca-Cola fabriquant de cirrhoses.
Les problèmes de santé dû aux sodas bientôt plus nombreux que ceux liés à l'alcool ?