Comment le laisser-faire sur les réseaux sociaux permet aux nationalismes populistes de propager la haine et le mensonge. Cette enquête dévoile la partie immergée de l'iceberg "fake news" dans quatre pays "écoles" : États-Unis, Inde, Brésil et Italie.
Il y a quinze ans encore, on percevait les réseaux sociaux comme un ferment démocratique nouveau qui, en favorisant la diffusion de l'information et la communication horizontale entre citoyens, aiderait les peuples à briser leurs chaînes, de l'Europe orientale au monde arabe. L'histoire s'est écrite autrement
"Une partie de la rémunération des rédacteurs en chef de France Télévisions augmente s'ils parlent davantage de l'Union européenne, nous apprend "Le Monde". De quoi satisfaire notre secrétaire d'État aux Affaires européennes qui veut que "nos chaînes publiques parlent davantage d’Europe par tous les moyens possibles, de contrainte ou de pression"..."
Extrait Wikipédia :
« Le ministère de l'Information est un ancien ministère français. Il apparaît pour la première fois sous la IIIe République, en mars 1938, sous le nom de ministère de la Propagande dans le second cabinet Léon Blum. Conservé au sein des gouvernement du régime de Vichy, le ministère continue d’exister sous la Quatrième République sous le nom de ministère de l'Information. En 1958, Charles de Gaulle revient aux affaires et institue la Cinquième République, prescrivant au ministère de l’Information une mission : réformer et organiser la radiotélévision d’État. Tantôt érigé en ministère, tantôt en secrétariat d'État, ce département de l’Information joue le rôle principal – dans les années 1960 – du contrôle des chaînes de télévision. Supprimé en 1968 en tant que ministère puis en 1969 en tant que secrétariat d'État, ce ministère ne sera pas reconduit sous le premier gouvernement de la présidence de Georges Pompidou mais rétabli en avril 1973 lors des trois gouvernements de Pierre Messmer, puis disparaît définitivement en mai 1974. »
La propagande est tellement omniprésente qu'elle ne se voit pas.