9127 liens privés
For many years, cycling has been overlooked as a viable transportation option outside of a few European cities. However, this perspective is finally starting to shift. Cities around the world—from Pune to Jakarta and Santiago to Addis Ababa—are investing heavily in cycling as they recognize its value as an important tool to improve public health, the climate, and urban access.
" le premier ministre Mark Rutte annonçait cette mesure, contraint par la plus forte vague épidémique jamais enregistrée aux Pays-Bas. "
"Le pic de Covid-19 survient malgré le fait que 82 % des Néerlandais âgés de plus de 12 ans ont été entièrement vaccinés."
Je pensais le vaccin efficace, mais quand je lis des choses comme ça, je ne peux m'empècher de me poser des questions.
« Aujourd'hui, si vous ne vomissez pas votre haine à l'égard des musulmans et des étrangers quatre fois par jour à la TV, vous êtes islamo-gauchiste et c'est insupportable ! »
Dans le fond la très grande majorité des Français se fout de ces thèmes. Mais que faire quand on sait que tout ceci est piloté par quelques milliardaire/empires (médiatiques) ? [1] Et que ces derniers dominent complétement le débat public en déversant une boue et un bruit continuel.
Bruit qui finit, en cette période "de crises", par effet de répétition, par entrer dans la tête d'à peu près tout le monde. A ce niveau on est dans de la manipulation de masse.
En fait cette situation arrange toutes les élites, à commencer par Macron/LREM.
On est dans un piège énorme, dont les élections sont le mécanisme principal et les médias le combustible.
[1] tentative de réponse courte : il faut des lois pour encadrer, interdire même, les empires médiatiques
" Des adeptes de l'Eglise de scientologie font le siège des hôpitaux psychiatriques à Lyon pour en détourner les patients . . ."
Infographie sur le pourquoi il n'est pas imaginable actuellement d'éléctrifier les bateaux cargos et avions de lignes.
Au même moment, après la publication des Pandora Papers, qui ont documenté, une nouvelle fois, l’ampleur des pratiques d’évitement de l’impôt grâce aux paradis fiscaux, Bruno Le Maire était monté au créneau, assurant que son ministère se montrerait « intraitable avec ceux qui ont triché avec le fisc français ».
C’est une tout autre attitude de la délégation française qui transparaît dans des négociations bruxelloises liées à la taxation des entreprises depuis vingt ans. À l’abri des regards, les représentants français se sont parfois montrés nettement moins volontaristes ou « intraitables ». Ils ont même parfois ralenti les discussions qui visaient à en finir avec ce que l’on nomme pudiquement, dans le jargon européen, les « pratiques fiscales dommageables ».
La quantité de déchets produits devrait augmenter de 70% d’ici 2050, selon la Banque mondiale. Un chiffre qui donne le tournis. Alors, pour éviter ces montagnes de déchets à nos portes, industriels et pouvoirs publics ont trouvé la solution en leur donnant une nouvelle vie. Mirage ou réalité ?
A Lyon on est dans le cas de figure du documentaire (passage concernant Paprec). Vers 2019 on nous a demandé de mettre un maximum de choses dans les poubelles jaunes (tous les plastiques etc.).
Paprec y avait investi dans une nouvelle usine de tri des déchets (usine à intelligence artificielle bien sûr).
Du coup on ne se pose plus vraiment de questions, tout va dans la poubelle jaune, il n'y a plus a culpabiliser, tout est recyclé !
Sauf que dans la réalité plein de choses qu'on met désormais dans la poubelle jaune n'est pas recyclé ou pas recyclable.
Le modèle économique de Paprec étant basé sur le volume, on ne parle jamais de baisse de consommation des déchets (qui est pourtant la seule vraie chose à faire). Mais au contraire d'augmenter d'année en année le tonnage de déchets pris en charge par Paprec. Bref, comme ailleurs, l'industrie du déchet est basé sur le toujours plus, sauf que ça nous conduit vers quelque chose de très moche.
"Cette alliance inédite, lancée à l’initiative du Costa Rica et du Danemark, s’engage avec dix autres pays signataires tels que la France, l’Irlande ou le Pays de Galles, à ne plus délivrer dans l’immédiat de permis d’exploration ou de production de pétrole et de gaz."
" Depuis 2017, la loi Hulot a déjà acté l’interdiction de la recherche et de l’exploitation des hydrocarbures sur le territoire national. « Pour la France, rejoindre cette alliance n’apporte rien de nouveau, a rappelé Lorette Philippot des Amis de la Terre. Pourtant, le gouvernement français est en train d’instruire une demande de permis pour exploiter du gaz de couche en Lorraine. Ce projet est dénoncé de longue date par les associations et une soixantaine d’élus locaux et parlementaires. »
La firme gazière La Française de l’énergie, qui requiert le permis d’exploitation, pourrait installer jusqu’à quatre cents puits de forage en Moselle pour exploiter ce gaz non conventionnel contenu dans les veines de charbon. "
"Par ailleurs, il y a une semaine, le gouvernement français a refusé de rejoindre l’accord, signé à la COP26 par les États-Unis et le Canada, mettant un terme au financement à l’étranger de tout projet d’énergie fossile d’ici à fin 2022. Ces derniers jours, les Pays-Bas, l’Allemagne et hier, l’Espagne et la Suède, ont rallié cette initiative, laissant la France sous le feu des critiques internationales."
" « La France est d’une incohérence totale entre ses objectifs affichés et la réalité de ses politiques publiques. Elle continuera de financer à l’étranger les projets pétroliers jusqu’en 2025 et gazier jusqu’en 2035"
" En 2018, menacée d'être mariée de force, elle fuyait l'Afghanistan avec sa famille pour rejoindre la France. À seulement 14 ans, Khatira est aujourd'hui menacée d'expulsion car pas assez "occidentalisée" et risque d'y être reconduite de force. Elle raconte son histoire. "
Par ailleurs je lis ça : https://www.lemonde.fr/international/article/2021/08/12/la-france-annonce-avoir-suspendu-les-expulsions-de-migrants-vers-l-afghanistan_6091262_3210.html
" Les résultats de cette enquête révèlent un mal-être profond : alors que la grande majorité déclare avoir rejoint le service public pour servir l’intérêt général (68 % des sondés), la quasi-totalité (97 %) des répondants s’est déjà dit au moins une fois dans un cadre professionnel : “c’est absurde… ou si cela a un sens ce n’est pas celui pour lequel je me suis engagé”. 80 % des répondants déclarent même être confrontés “régulièrement” ou “très fréquemment” à ce sentiment d’absurdité dans l’exercice de leur travail. "
"Plus de 3000 témoignages écrits ont été recueillis, dans lesquels les agents nous expliquent, parfois longuement, ce qui provoque chez eux la perte de sens.Ils mettent en avant le manque de moyens, un défaut de vision, l’impression de servir un intérêt particulier plus que l'intérêt général, le poids de la structure ou de la hiérarchie ainsi que le manque de reconnaissance. Ces motifs s’entrecroisent et se recoupent fréquemment."
" En tempêtant avec inconséquence « nous sommes en guerre », les plus hautes autorités de l’État ont permis à une extrême droite française, ivre de revanche, de s’engouffrer dans la brèche. La haine est là et le scrutin l’attend. "
"e cinéma français renseigne sur la montée des périls dans les années qui précédèrent le second conflit mondial. En 1937, dans Drôle de drame de Marcel Carné, Jacques Prévert fait répéter à Michel Simon : « À force d’écrire des choses horribles, les choses horribles finissent par arriver. » En 1938, dans Les Disparus de Saint-Agil de Christian-Jaque, le même Jacques Prévert fait déclamer à un personnage épisodique : « Cette fois-ci, messieurs, c’est la guerre ! »"
"Dire « nous sommes en guerre », c’est lancer un appel d’air au pire, qui répond toujours… Présent. Le système (capitaliste) avait jusqu’alors fait montre d’une ruse et d’une retenue lexicales retorses à souhait. Tout était euphémisé : on ne disait plus cotisations sociales mais charges patronales, licenciements mais plans sociaux, cadres du privé mais société civile, démantèlement du droit du travail mais flexibilité, loi du plus fort mais compétitivité, lutte des classes mais dialogue social, infantilisation de la canaille mais pédagogie. Avec toujours cette antienne imparable prononcée la main sur le cœur : « Moi, je ne suis pas dans l’idéologie. »"
"Transformer les inégalités sociales en guerre identitaire"
"Faire semblant de craindre la guerre civile tout en l’allumant. Tout le monde s’y met, ici et maintenant. "
"La guerre doit avoir une fin. Celle intervenue en 1944-1945 nous convient. Inutile d’y revenir "
" Auditionnée par le Parlement européen, l’ex-employée de Mark Zuckerberg, devenue lanceuse d’alerte, a plaidé pour l’adoption d’une législation « forte » pour imposer au réseau social d’ouvrir ses données aux chercheurs et à la société civile. "
"La lanceuse d’alerte de Facebook, Frances Haugen, a dessiné, lundi 8 novembre devant les députés européens, les pistes d’une régulation du réseau social qu’elle a une nouvelle fois accusé de « menacer l’intégrité de notre démocratie » et de « blesser nos enfants »."
"Une série d’articles, basés sur les documents fournis par la lanceuse d’alerte, avait détaillé comment l’algorithme du réseau social favorisait, en connaissance de cause, la propagation des contenus les plus clivants, ses manquements en matière de modération dans certains pays en voie de développement, ou encore comment la société cherchait à attirer sur Instagram, dont elle est propriétaire, des adolescents alors que plusieurs études internes attestaient de ses effets délétères sur leur santé mentale."
"Le réseau social « connaît beaucoup de moyens de changer le système, a poursuivi l’ancienne employée de Mark Zuckerberg, mais il choisit de ne pas le faire car il croîtrait moins, vous consommeriez moins de contenus, vous consommeriez moins de publicités ou feriez moins d’argent »."
"Cependant, a également plaidé la lanceuse d’alerte, la solution ne peut pas résider dans un renforcement de la modération humaine. Avec « 3,1 milliards d’utilisateurs », « ce n’est même pas possible », a-t-elle pointé. Frances Haugen s’est également dit « extrêmement sceptique » quant aux dispositifs de modération automatisés reposant sur des algorithmes pour détecter et retirer les contenus problématiques. Selon elle, ces dispositifs techniques conduisent en effet trop souvent à une modération excessive et à une censure injustifiée. Les intelligences artificielles « ne sont en réalité pas intelligentes », a-t-elle expliqué."
"Cet accès aux données de Facebook pourrait se faire selon le système du « firehose », tuyau d’arrosage en français, déjà utilisé par certaines plateformes telles que Twitter. Celui-ci consiste en une application permettant à certains acteurs d’analyser les données techniques d’une partie du trafic d’une plateforme, 10 % dans le cas de Twitter selon Frances Haugen, afin de pouvoir l’étudier.
Ouvrir les données de Facebook à des chercheurs, mais également à la société civile, et ainsi « construire un écosystème » de l’accès aux données, permettrait de repérer les biais dans l’algorithme, les campagnes de désinformation ou les défauts dans les modérations,"
"La lanceuse d’alerte a également fait d’autres préconisations comme favoriser l’émergence de « plateformes plus petites », de « réseaux sociaux à taille humaine », plus centrés sur « les amis et la famille ». Selon elle, sur Facebook, les groupes importants seraient « le gros problème »."
"Les publicités, elles, devraient être « beaucoup moins ciblées » pour se rapprocher de celles de « la télévision ». Et pour limiter la propagation des contenus haineux, qui ont tendance à être les plus partagés, Frances Haugen a évoqué des dispositifs obligeant par exemple l’internaute à « cliquer sur un lien avant de partager » afin d’imposer un temps de réflexion et limiter les diffusions automatiques"
"
Il n’y a pas d’un côté les bonnes énergies vertes et de l’autre les méchantes machines carbonées, mais un questionnement essentiel, puisque la quête continue de l’abondance n’est plus possible : comment habiter notre planète sans creuser la tombe de celles et ceux qui y vivent ?
"
" Mais l’historien Jean-Baptiste Fressoz a mis en garde contre le « leurre dangereux, sans référent historique », de ce concept, « inventé en 1975 pour conjurer le thème de la crise énergétique ». Selon lui, « dire “transition” plutôt que “crise” rendait le futur beaucoup moins anxiogène en l’arrimant à une rationalité planificatrice et gestionnaire ». "
" L’ambiguïté de ce mot est pointée par deux autres auteurs, Gérard Dubey et Alain Gras, dans leur livre La Servitude électrique. Il est « chargé d’une idéologie continuiste », écrivent-ils, c’est-à-dire de l’idée que tout peut continuer comme avant, à condition de changer quelques équipements industriels périphériques. En réalité, « l’histoire industrielle, qui se déroule sur 200 ans, n’a jamais vu une énergie remplacer une autre ». Elles ne font que s’ajouter les unes aux autres. Tout est en place pour que les sociétés humaines se retrouvent à utiliser en même temps du charbon, du pétrole, du gaz, du nucléaire, de l’éolien, du solaire, de la géothermie, de l’hydrogène et de la biomasse, et accélèrent ainsi l’épuisement des milieux de vie, humaine et non humaine, sur cette pauvre planète creusée, forée et polluée de toutes parts. "
"Alors, si la « transition » n’est pas le bon substantif pour désigner les voies à ouvrir pour arrêter de détruire le monde, quel est-il ? Différentes propositions sont sur la table, habitées par des cosmologies et des visions politiques différentes : rupture (voir par exemple le livre Écologie sans transition , publié par les éditions Divergences), destitution, transgression, décroissance, atterrissage (Bruno Latour, Où atterrir ?)"
"Une idée simple serait d’oser se saisir du mot « révolution » dans son sens géométrique : pour retourner la question énergétique par rapport à son sens dominant. En clair, commencer par interroger la demande énergétique et voir comment la réduire au maximum, pour ensuite chercher comment répondre à la part incompressible de nos besoins. Soit l’inverse des présupposés idéologiques qui sous-tendent le « tournant nucléaire » du discours public en France sur la transition énergétique. La sobriété maximale et la production minimale d’énergie sont les indispensables conditions au maintien de la possibilité d’une vie décente pour tou·te·s, et pas seulement l’élite hors sol des pays riches. "
" C’est donc tout sauf uniquement une question de technologie. La catastrophe écologique en cours doit ouvrir un questionnement fondamental : quels besoins, quelle juste répartition des ressources en situation de pénurie, qui pour en décider ? "
" Le patron de l’imprimerie avait relancé à plusieurs reprises le siège du parti par courrier, téléphone et mail, en rappelant qu’il est à la tête d’une « petite structure », placée en « grande difficulté » par le refus de payer du parti présidentiel, qu’il croyait être un « parti sérieux qui honorait les factures émises par ses prestataires ».
La situation a ceci de paradoxal que LREM a fait voter en 2018, dans la loi Pacte (Plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises), une disposition offrant la possibilité à l’administration de publier dans la presse le nom des entreprises qui ne paient pas leurs factures. "
" Dans un ouvrage récemment paru [De quoi avons-nous vraiment besoin ? ], les Économistes atterrés posent une question qui peut sembler triviale mais est essentielle : de quoi avons-nous vraiment besoin ? Poser la question, c’est déjà changer la logique de l’économie. Entretien avec la coordinatrice de l’ouvrage, Mireille Bruyère. "
" Il s’agit de prendre la question économique à l’envers de la manière dont elle est d’ordinaire posée : partir des besoins pour produire l’essentiel, plutôt que de produire d’abord pour créer ensuite des besoins utiles à la production.
Ce petit livre riche est donc un moyen utile de sortir de l’enfermement intellectuel actuel, dans lequel l’entreprise, le marché et le profit sont considérés comme le point de départ de toute solution, alors même qu’ils sont au cœur du problème.
"
"Réfléchir aux besoins, c’est d’abord remettre en cause les méthodes de l’économie orthodoxe qui estime que la répartition des ressources est réglée par le marché. À l’inverse, la méthode adoptée dans ce livre est de soumettre l’ensemble du système économique au préalable des besoins."
"Bien sûr, nous restons des économistes, nous ne sommes pas devenus des anthropologues ou des sociologues. Mais si l’on veut renouveler la discipline économique face aux enjeux actuels, il nous faut partir de cette définition des besoins. Car définir les besoins, c’est aussi définir un mode productif et une organisation sociale."
"un des points communs des Économistes atterrés, c’est précisément le rejet de cette marchandisation complète de la société. Nous sommes favorables à maintenir des pans de la société en dehors du marché."
"Nous avons cherché à tout prix à éviter l’idée qui voudrait que poser la question des besoins revienne à stigmatiser des classes populaires qui ne feraient pas ce qu’il faut en termes écologiques. Cela a été le cas lors du mouvement des « gilets jaunes », où l’on a entendu qu’il fallait des politiques coercitives car ces gens ne voulaient que consommer. Notre démarche consiste au contraire à dire qu’il existe un lien fort entre production et consommation, et que le sens de ce lien est l’expansion et l’accumulation générale des profits. Et, en réalité, ce que l’on observe, c’est que la hausse du pouvoir d’achat s’accompagne d’une plus forte contrainte à la consommation. Les classes les plus modestes ont de plus en plus de dépenses pré-engagées ou contraintes. Ainsi, si le pouvoir d’achat d’un ouvrier est plus important que dans les années 1960, sa capacité d’arbitrer et de choisir est beaucoup plus réduite."
Par ailleurs, sur la notion de besoin écouter :
https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-idees/de-quoi-avons-nous-vraiment-besoin
Autre livre : Razmig Keucheyan "Les besoins artificiels" (La Découverte).
Exploration industrielle type urbex, historique et même politique de l'usine sidérurgique de Gandrange en Moselle.
Sur le sujet, aussi cette page Wikipedia : Crise de la sidérurgie dans le bassin lorrain
Les images sont impressionnantes.
(via Lionel)
" This website runs on a solar powered server located in Barcelona, and will go off-line during longer periods of bad weather. "
Démarche expérimentale intéressante.
(via Shaarli river ...)
Très bon docu, qui montre comment les principes même de la science ont été pervertis par les industriels depuis le siècle dernier. Le docu explique notamment comment ces industriels ont tordu et perverti la notion de doute et de remise en cause (notion fondamental dans la démarche scientifique), pour finalement la réutiliser dans une un autre but.
Ce "doute" se répand des industriels, vers les "experts" puis les "personnes avisées", personnes étant elles-mêmes à priori dans un esprit scientifique. Le feu médiatique fait le reste du travail, il devient ensuite très dur à l'individu lambda de se faire un avis critique sur un sujet donné.
L'exemple récent des néonicotinoïdes est notamment donné. Je me souviens à quel point, j'ai moi-même douté du danger de ces néonicotinoïdes, face à des argumentaires à priori scientifiques.
Le problème soulevé dans ce docu est majeur, dans le sens où il contribue à saper la confiance qu'on peut accorder à la science. Et c'est très grave, puisque cette science est elle-même un des piliers de nos sociétés modernes.
Ce docu peut être loué en VOD sur le lien ci-dessus. Sinon voir ici et aussi.