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Les fast-foods et restaurants proposant de la vente à emporter sont tenus, par la loi, d’accepter de vous servir dans vos propres contenants.
les commerçants qui proposent des boissons dans des gobelets jetables sont même tenus d’appliquer une « tarification plus basse » au client qui vient avec son propre récipient réemployable.
Cette possibilité de se faire servir dans son propre contenant s’applique aussi aux supermarchés et à tous « les commerces de vente au détail »
" ou chez le pâtissier, boucher ou poissonnier."
Tldr : les emballages cartons aujourd’hui distribués dans les fast food sont blindés de Pfas.
Tout va bien
S'en foutent du plastique qu'elle font avaler à la nature puis donc aux consommateurs en retour sous forme de micro plastique :
Carrefour,
Danone,
Auchan,
Picard Surgelés,
Lactalis,
Casino,
Les Mousquetaires,
McDonald’s France,
Nestlé France
" Céréales, graines, fruits secs, biscuits, mais aussi acras ou saucisses, de très nombreux emballages sont remplis majoritairement… de vide ! La palme revient à des paquets de ravioles, d’amandes, de granola ou de lardons, qui contiennent 55 % de vide ! "
Tentative d'assassinat, ni plus ni moins, sur une journaliste en 2021 en France. Vive l'industrie agroalimentaire (bretonne) !
" C’est le genre d’histoire qui semble sortie d’une fiction télévisée, mais qui relève de la pure et sinistre réalité. Ce mercredi 31 mars, la journaliste de Radio Kreiz Breizh, Morgan Large, était sur le point de prendre le volant, quand soudain elle s’est rendue compte que les boulons fixant une des roues arrière de son véhicule avaient disparu. Cet acte de malveillance, qui aurait pu la mettre gravement en danger, n’est pas le premier. Depuis que la journaliste enquête sur les subventions accordées à l’agro-industrie en Bretagne, elle et son média ont fait l’objet de pressions et d'actes d'intimidation à plusieurs reprises. Tout comme ses collègues qui tentent de travailler également sur les questions agricoles de la région."
Vive l'industrie agro alimentaire !
Aussi voir :
CALENDRIER DU VENT 2020. Une nouvelle sélection fine d'arnaques sur l'étiquette
Chaque jour du 1er au 24 décembre, une case s'ouvrira pour dévoiler une arnaque sur l'étiquette.
" Responsables de la couleur rose des charcuteries, les additifs nitrités sont très couramment utilisés dans les viandes transformées (jambons crus et cuits, saucissons…), dont ils permettent d’allonger la durée de conservation. La recherche scientifique a néanmoins mis en évidence, à travers un large corpus de publications, que la consommation des viandes transformées était associée à un risque accru de survenue de certaines maladies, notamment le cancer colorectal "
La pétition que les industriels veulent voir supprimer : https://www.foodwatch.org/fr/sinformer/nos-campagnes/alimentation-et-sante/additifs/petition-stop-aux-nitrites-ajoutes-dans-notre-alimentation/
"Cela fait deux mois que l’affaire du sésame contaminé enfle. Il faut s’étonner que face à ce nouveau sujet de sécurité sanitaire, une fois de plus, tout le monde semble tomber des nues. Car l’histoire a des allures de déjà-vu, comme lors du scandale de la viande de cheval ou du fipronil : il y a au moins trois similitudes, trois scandales en un.
Cette fois, il s’agit de graines de sésame en provenance d’Inde, contenant des résidus d’oxyde d’éthylène - un désinfectant gazeux, visant entre autres à éviter la formation de moisissures - interdit au sein de l’Union mais que l’on a retrouvé sur des aliments en doses mille fois supérieures à la limite maximale tolérée en Europe, qui est de 0,05 mg/kg. Comme pour le fipronil, c’est la Belgique qui a prévenu ses voisins européens, éberlués"
« on a l’impression que certaines grosses entreprises ne jouent pas collectif et attendent que d’autres soient en difficulté pour racheter le lait à bas prix, par exemple Intermarché, qui rachète du lait bio en-dessous des coûts de production. »
« La FNPL, affiliée à la toute puissante FNSEA, syndicat majoritaire de l’agriculture, ouvre une porte. « Peut-être qu’enfin on va questionner le fait que les échanges internationaux régulent l’alimentation, et se rappeler que les aspects environnementaux et sociaux sont aussi à prendre en compte dans le coût d’un produit », espère sa vice-présidente Marie-Thérèse Bonneau. La Confédération paysanne va plus loin, incitant à une baisse durable de la production et des exportations. « On voudrait relocaliser les productions, avec des systèmes moins orientés vers les volumes et plus vers la qualité », explique Jean-Marc Thomas. Pour en arriver là, encore faut-il faire évoluer les fermes laitières pour les rendre plus autonomes, avec moins de dépenses liées aux aliments du bétail (par exemple, du soja importé du Brésil), aux machines onéreuses ou aux pesticides, souligne Éric Duverger »
Miam
Notes et termes techniques utilisés dans l'émission :
auxiliaire technologique
frite acrylamide
fromage analogue