6501 liens privés
L'arnaque de l'ouverture à la concurrence, censé avantager le consommateur/usagé, brillamment expliqué en 15 minutes
"je me suis posé une question : suis-je un député de La République en marche ou un député de la République tout court ? La Constitution est très claire sur le sujet. Tout mandat impératif est nul. J’ai donc voté contre et ils ont décidé de m’exclure, pour avoir respecté le jeu démocratique."
Malgré une victoire relativement nette dimanche, le score du président sortant s’atténue si on prend en compte le nombre total d’inscrits sur les listes électorales. Dans la même logique, Le Pen fait moins que le nombre d’abstentionnistes.
**38,5% des inscrits pour Macron, bénéficiant d'un vote barrage, c'est pas brillant quand on voit que les abstentionnistes + vote blanc + nuls représentent 34,2% des inscrits**. Il a de quoi se sentir "obligé"... Voir aussi https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/04/25/presidentielle-2022-les-bulletins-blancs-et-nuls-cette-autre-france-de-la-colere_6123594_823448.html
"Un fonds lancé par la Banque publique d’investissement (BPI France), ouvert aux souscripteurs apportant au moins 5 000 euros, a dégagé en neuf mois un rendement de 43 %, grâce à une forte décote des actifs publics. Une opération financière qui symbolise la politique économique du quinquennat Macron."
Le temps que vous lisiez ce tweet, l'Etat-Macron aura versé 95€ à un cabinet de conseil.
C'est 5 707€ par minute.
342 465€ par heure.
8 219 178€ par jour.
3 000 000 000€ par an.
Précisons : c'est nos impôts qui payent.
• entrée en vigueur du pass vaccinal lundi 24 janvier pour les +16 ans,
• le 2 février : fin du télétravail obligatoire, des jauges et du masque en extérieur,
• le 16 février : réouverture des discothèques, reprise de la consommation dans les stades et transports
Foutage de gueule épisode # 136.
Episode 2 de la série Off investigation "Emmanuel, un homme d'affaires à l'Élysée" financée en crowdfunding.
Episode 1 ici.
" Macron nous prépare à la privatisation des universités françaises. Au programme pour son prochain quinquennat (s'il est réélu) : suppression du CNRS, privatisation des universités et des routes nationales, démantèlement de la CDC (pour réserver aux banques la gestion du livret A) "
" « On assiste à un niveau de violence physique et verbale auquel on n’était pas habitués "
Un miroir du niveau de violence qu'à exercé le gouvernement pendant ce quinquennat ? Niveau auquel on était en effet pas habitué.
Intimidation, tabassage, mutilation des manifestants.
Dernièrement insultes non dissimulées du président envers les citoyens « je veux les emmerder un max ».
En gouvernant à la matraque et à l'invective ...
"En 4 ans, Macron a fermé 17600 lits d'hopital, dont 5700 lits en pleine année Covid."
" le total de lits fermés évoqué par le député LFI est un peu en deçà de la réalité, puisque pour l’instant, il s’élève à environ 17 900 lits en moins en 2020 par rapport au total d’il y a quatre ans "
Lien direct vers le tableau des fermetures annuelles de lit.
" Alors qu’Emmanuel Macron veut « accélérer » la radiation des demandeurs d’emploi, Pôle emploi vient de franchir un cap dans la marche forcée vers la dématérialisation et le contrôle numérique des personnes privées d’emploi. Un travailleur sans emploi s’est vu récemment notifier sa radiation1 au motif que l’envoi de ses candidatures par courrier recommandé, plutôt que par internet, ne permettait pas de constater le « caractère sérieux des démarches […] entreprises pour retrouver un emploi »."
Au moment même où l'assurance chomage à tout son sens, en pleine pandémie alors que la société est complétement bouleversé, que les temps sont plus incertains que jamais, Macron et son gouvernement s'acharne sur les demandeurs d'emploi (réforme de l'assurance chomage etc.).
Pitoyable, immoral et honteux.
La cinquième vague est de bien moindre ampleur que l'on été les précédentes (grâce au vaccin), bien que peu importante cette vague menace d ébranler le système hospitalier car ce dernier est complètement à genoux suite à des années de politiques publiques d'austérité en matière de santé. Politiques de fermetures de lit, diminution des moyens et du personnel qui ont continuées sur la même lancé depuis les premières vagues Covid.
Vaccin tous les 6 mois, puis 5 et maintenant tous les 4 mois...
Va on devoir se vacciner bientôt chaque mois pour tenter de masquer notre système de santé défaillant ?
" En tempêtant avec inconséquence « nous sommes en guerre », les plus hautes autorités de l’État ont permis à une extrême droite française, ivre de revanche, de s’engouffrer dans la brèche. La haine est là et le scrutin l’attend. "
"e cinéma français renseigne sur la montée des périls dans les années qui précédèrent le second conflit mondial. En 1937, dans Drôle de drame de Marcel Carné, Jacques Prévert fait répéter à Michel Simon : « À force d’écrire des choses horribles, les choses horribles finissent par arriver. » En 1938, dans Les Disparus de Saint-Agil de Christian-Jaque, le même Jacques Prévert fait déclamer à un personnage épisodique : « Cette fois-ci, messieurs, c’est la guerre ! »"
"Dire « nous sommes en guerre », c’est lancer un appel d’air au pire, qui répond toujours… Présent. Le système (capitaliste) avait jusqu’alors fait montre d’une ruse et d’une retenue lexicales retorses à souhait. Tout était euphémisé : on ne disait plus cotisations sociales mais charges patronales, licenciements mais plans sociaux, cadres du privé mais société civile, démantèlement du droit du travail mais flexibilité, loi du plus fort mais compétitivité, lutte des classes mais dialogue social, infantilisation de la canaille mais pédagogie. Avec toujours cette antienne imparable prononcée la main sur le cœur : « Moi, je ne suis pas dans l’idéologie. »"
"Transformer les inégalités sociales en guerre identitaire"
"Faire semblant de craindre la guerre civile tout en l’allumant. Tout le monde s’y met, ici et maintenant. "
"La guerre doit avoir une fin. Celle intervenue en 1944-1945 nous convient. Inutile d’y revenir "
" Le patron de l’imprimerie avait relancé à plusieurs reprises le siège du parti par courrier, téléphone et mail, en rappelant qu’il est à la tête d’une « petite structure », placée en « grande difficulté » par le refus de payer du parti présidentiel, qu’il croyait être un « parti sérieux qui honorait les factures émises par ses prestataires ».
La situation a ceci de paradoxal que LREM a fait voter en 2018, dans la loi Pacte (Plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises), une disposition offrant la possibilité à l’administration de publier dans la presse le nom des entreprises qui ne paient pas leurs factures. "
" À défaut d’un effet économique identifiable, la réforme a, en revanche, eu un effet sur le patrimoine et les revenus des plus fortunés. Et c’est même le seul effet que le comité est capable d’identifier avec certitude. Et les chiffres sont vertigineux. En 2018, les dividendes versés aux ménages résidant en France ont augmenté de 9 milliards d’euros sur un an, à 23 milliards d’euros, soit une hausse de 64 %. Et le flux s’est encore accru en 2019 de 1 milliard d’euros, avant de se stabiliser à ce niveau très élevé en 2020 "
" Lorsque l’on dit « versés aux ménages », il faut savoir de quoi on parle : 45 % de la hausse de 9 milliards d’euros a été captée par 5 000 foyers qui ont vu leurs dividendes dépasser 100 000 euros par an, et 13 %, soit 1,2 milliard d’euros, ont été captés par 310 foyers, qui ont touché plus d’un million d’euros de dividendes par an. Il s’est ensuivi un creusement des inégalités au sein même de la classe la plus aisée, au bénéfice des 0,1 % les plus riches. "
" Les bénéfices dégagés par ces réformes ne se sont pas retrouvés dans l’économie française parce qu’ils sont allés là où les rendements sont les plus attrayants : à l’étranger, dans l’immobilier et dans les marchés financiers. L’incompréhension de cette réalité pourtant évidente est le voile qui permet de faire accroire à la classe moyenne qu’il faut épargner les plus riches. Et c’est pourquoi ce type de rapport, comme celui du comité d’évaluation, est important : il ne peut dissimuler le désastre économique et social de cette réforme. Et sape les bases de l’imposture. "
" En réalité, la seule vraie boussole de ce quinquennat, c’est cette réforme de la fiscalité du capital. [...] . En dépit de son impopularité, la fin de l’ISF est restée un point non négociable pour Emmanuel Macron. C’est donc ici qu’il faut chercher son identité politique et économique. "
" En 2019, sous la pression des gilets jaunes, le président de la République avait concédé qu’il se soumettrait à l’évaluation de la réforme de la fiscalité du capital. Laurent Saint-Martin et Benjamin Griveaux, député LREM, avaient, à l’époque, demandé de laisser passer deux ans. On y est. Marlène Schiappa va-t-elle proposer de rétablir l’ISF comme elle s’y était alors engagée ? « Si l’évaluation montre que des capitaux ne sont pas suffisamment injectés dans l’économie française, je proposerai de rétablir l’ISF », avait-elle alors affirmé."
"Évidemment, on comprend la fonction de l’évaluation : c’est une façon de gagner du temps et de pérenniser des mesures qui, une fois en place, ne peuvent plus être remises en cause, car on ferait alors prendre des risques à « l’emploi ». C’est un piège politique qui s’apparente à une forme d’escroquerie. Dès 2018, chacun avait déjà les moyens de savoir que cette réforme de la fiscalité du capital était une mesure de classe et non une mesure économique."
" Du CSA à l’Autorité de la concurrence, en passant par l’AMF ou l’Arcep, l’Élysée multiplie les chausse-trappes contre, ces institutions garantes de l’impartialité de l’État. Ce qui en dit long sur l’autoritarisme d’Emmanuel Macron et l’anémie de notre démocratie. "
Montagne d'or " Le Fonds mondial pour la nature (WWF) détaille qu’outre le déboisement total de 1 513 hectares, « l’extraction de l’or nécessiterait des milliers de tonnes d’explosifs et de cyanure et 195 millions de litres de fuel durant les douze années de vie du projet ». "
Sinon, n'oubliez pas d'éteindre la lumière en sortant et de pisser sous la douche.
Je lis cet article avant-hier. Super nouvelle, enfin une bonne décision prise par ce gouvernement, tellement rare que j'en serais presque ému.
Ça fait des années que ce devrait être le cas, c'est une super mesure de santé publique qui sur le moyen et long terme sera bénéfique à toute la société, sur tout point de vue...
Sauf que comme d'hab ce n'est que effet d'annonce et poudre aux yeux :
Hier je discute avec une amie psy qui m'explique dans quelle mesure sera pris en charge le remboursement :
Seulement s'il n'y a pas de dépassement d'honoraire de la part du psy. Pas de dépassement d'honoraire étant entendu à 23€ la demi-heure ou 40€ l'heure...
Sauf que le tarif courant des psychologues pour une heure est de 50/60€.
De plus le psy devra, pour que le client soit remboursé faire tous ses actes dans le cadre des 40€/h.
D'après le calcule des syndicats, un psy qui accepte de jouer le jeu gagnera autour des 1100/1200€ mois, une fois les charges payées ...
Autant dire que peu de psy vont rentrer dans ce système. On peut pas s'empécher de se dire, que c'est un calcul de la part du gouvernement pour faire en sorte que ce remboursement soit utilisé seulement à la marge.