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" Depuis près d’un an, un groupe transpartisan d’une centaine de députés, de LFI à LR, travaille sur une régulation de l’installation des médecins libéraux dans les zones à forte densité. "
La coalition de droite extrême frappe encore. La France prend le chemin de l'Italie.
" Le patron de l’imprimerie avait relancé à plusieurs reprises le siège du parti par courrier, téléphone et mail, en rappelant qu’il est à la tête d’une « petite structure », placée en « grande difficulté » par le refus de payer du parti présidentiel, qu’il croyait être un « parti sérieux qui honorait les factures émises par ses prestataires ».
La situation a ceci de paradoxal que LREM a fait voter en 2018, dans la loi Pacte (Plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises), une disposition offrant la possibilité à l’administration de publier dans la presse le nom des entreprises qui ne paient pas leurs factures. "
Si ils n'ont plus de pain qu'ils mangent de la brioche ...
Ils sont comme ça chez LREM.
Soit t'es godillot, soit tu te barres. Interdit de voter en son âme et conscience chez LREM. Si tu n'es pas du même avis que le Roy et que tu oses le dire au travers d'un vote --> la porte
Le bureau du groupe La République en Marche (LREM) à l’Assemblée nationale a voté ce mercredi l’exclusion de la députée du Bas-Rhin Martine Wonner. Le parti présidentiel lui reproche son vote contre le plan de déconfinement du gouvernement le 28 avril. Elle était la seule députée de la majorité à ne pas l’avoir approuvé.
Elle reproche notamment au gouvernement « l’absence d’une quelconque stratégie thérapeutique », ainsi que son « amateurisme » et « une forme de mensonge » dans la gestion de la crise du coronavirus.
Psychiatre et novice en politique, Martine Wonner est élue de la 4è circonscription du Bas-Rhin, à l’ouest de Strasbourg. Ancienne responsable du Samu social de Paris, c’est une militante pro hydroxychloroquine, le traitement controversé promu par le professeur marseillais Dider Raoult.
texte : Mediapart
" Après les annonces d'Édouard Philippe concernant l'épidémie de coronavirus, une partie de la classe politique exige le report des élections dont le premier tour a lieu ce dimanche. "
Peut-être que le Gouvernement attend le résultat de ce soir pour décider de les annuler ?
Le résultat convient à LREM : on annule pas
Le résultat convient pas à LREM : on annule rétroactivement
Tout est dit en 1min30, bravo Ruffin.
Le député #LREM, Jacques Maire rapporteur du projet de loi Retraites et ancien haut cadre d'Axa, détenait 13 000 actions de l'assureur, pour un montant estimé à 360 000 euros.
Un portefeuille qu'il aurait revendu il y a peu, selon son entourage.
Axa serait un des grands gagnants de la réforme des retraites.
« « On assiste à un détournement de fonds publics. Quand les moyens de l'Etat sont mis à disposition d'un parti pour déstabiliser un adversaire politique, cela s'appelle comment ? » tonne-t-il, cherchant quelles suites donner à cette affaire « plus grave encore que le 1er mai de Benalla ». »
LREM est en train de promulguer une loi contre "la haine en ligne", au même moment une horde haineuse, plus ou moins structurée de proche et très proche de LREM est en train harceler, d'intimider et de se comporter comme les pires raclures d'Internet.
Vous critiquez LREM, bam ils vous tombent dessus (ils appellent ça l'équipe riposte).
A tel point que certains journalistes (du Monde notamment) on dû mettre en pause leur compte sur les réseaux sociaux.
(si le sujet vous intéresse vous pouvez consulter le compte Twitter de Fabrice Epelboin)
Le phénomène est connu sur Twitter mais je n'avais pas encore lu d'article sur le sujet.
(si quelqu'un à l'article du Monde en entier je suis intéressé)
Idem pour les commentaires sur les sites type le Parisien ?
Les mots d'une députée LREM (comme quoi) :
« La réalité, c’est que la majorité des « gilets jaunes » sont pacifiques. Je rejoins [le député LREM] Aurélien Taché quand il dit que nos institutions ne sont pas menacées par ce mouvement. Il faut arrêter ce type de messages. Ce n’est pas parce qu’on a cassé une porte, qu’il y a eu des tags sur l’Arc de Triomphe, et que ces images ont traumatisé des gens, qu’il faut répondre à la violence par la violence. Je ne légitime pas cette violence, bien sûr, mais il existe aussi une autre violence : celle du manque d’argent, du sentiment d’humiliation, de ne pas avoir de médecin à proximité, etc. Les personnes qui pleurent sur une porte cassée, c’est bon… On aurait dû se passer de cette loi, car elle ne répond pas à l’urgence du moment. »
Mounir Mahjoubi, secrétaire d’Etat (LREM) chargé du numérique :
" Le mouvement des « gilets jaunes » apporte la preuve qu’il est aujourd’hui possible de s’organiser spontanément sans aucun intermédiaire. Je suis convaincu qu’il peut représenter une chance pour la France.
Elu d’un arrondissement populaire de Paris, fils d’une femme de chambre et d’un peintre en bâtiment, je suis tous les jours confronté à la réalité sociale de notre pays. Ce n’est cependant qu’après avoir longuement échangé avec des personnes engagées dans le mouvement et pris le temps de visionner de nombreuses vidéos que j’ai pu mesurer l’ampleur du rejet dont font l’objet les responsables politiques de tous bords. Ce que pointent les « gilets jaunes », c’est l’impérieuse nécessité d’une plus grande justice sociale et fiscale ainsi que le besoin irrépressible de participer plus activement au fonctionnement de notre démocratie. "
« « Je croyais faire partie d’un collectif où chaque personne est entendue, mais c’est l’inverse. Nous avons été des marionnettes, le temps de l’élection. Une fois que tout est terminé, ils n’ont plus besoin de nous », accuse cette mère au foyer qui s’est investie à 200 % dans la campagne »
Mais bon sang de bon sang comment ces militants ont pu être naïf à ce point !
« Les militants d’En Marche! se prononcent [ce 30 juillet] sur les statuts de leur futur parti. Comités locaux sans pouvoir, direction ultra-puissante : le parti, où l'absence de démocratie est assumée, s'annonce très centralisé. Des militants attaquent les textes en justice. »
« 75 % des membres du Conseil national sont des référents départementaux, nommés par la direction nationale, ou des élus, élus par le peuple, certes, mais après avoir été choisis par la commission nationale d'investiture qui dépend directement du bureau exécutif » »
« « Nous aurions voulu élire les référents plutôt que de se les voir imposer par le national, que ce soient des binômes paritaires plutôt qu’une seule personne, que les instances nationales soient élues. Et aussi que l’on mette en place la “civic-tech”, des outils de collaboration entre comités locaux, des plates-formes pour inventer un nouveau type de démocratie. » À la réception du projet de statuts, c’est le désenchantement. « La défiance envers les adhérents était à tous les étages, explique le “marcheur”. Ils voulaient supprimer les baronnies des partis traditionnels ? Ils les remplacent par une aristocratie de droit divin ! Les adhérents ne sont pas un tiers état, nous sommes un “quart état” ! » »
« [...] , il y a une absence totale de contrôle des adhérents sur les dirigeants », analyse Frédéric Sawicki, professeur de sciences politiques à Paris I. »
« « Nous sommes donc dans un système très centralisé, néogaulliste, quasi militaire, fait pour défendre une personne », juge Frédéric Sawicki, qui fait même un parallèle avec « le PC [le Parti communiste] de la grande époque, où les permanents étaient payés pour s’assurer que les militants restaient dans la ligne ». »
« Lancée ex nihilo en avril 2016, la structure qui a porté au pouvoir le nouveau président s’est financée grâce aux dons des réseaux bancaires ou des patrons de start-up. Coulisses secrètes d’une collecte express et incroyablement efficace »