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"C’est une estimation a minima, car l’étude se concentre sur six pays seulement, et sur la première vague épidémique."
" La toxicité de ce médicament n’est pas une surprise : « On ne l’a pas inventée, poursuit le professeur lyonnais. Elle est décrite depuis longtemps, notamment sa toxicité cardiaque. Elle reste faible. Mais on peut déterminer, à large échelle, les conséquences d’une toxicité faible. » Mahmoud Zureik renchérit : « Plus de précautions auraient du être prises avec l’hydroxychloroquine, en raison de ses effets secondaires cardiaques documentés de longue date. Car toutes les études ont montré, très tôt, que le Covid n’est pas seulement une maladie pulmonaire. Il y a très rapidement des complications cardiaques. C’est probablement la raison de la surmortalité liée à l’hydroxychloroquine. » "
" La principale conclusion de cette étude est qu’il ne fallait pas « promouvoir de médicaments qui n’étaient pas évalués, et alimenter de faux espoirs sur l’existence d’une solution à cette crise sanitaire complexe ». "
« C’est un retour d’expérience, une autocritique sur nos pratiques, explicite le professeur Lega. On peut s’interroger sur la liberté de prescription en situation de pandémie, qui a permis aux médecins de s’en remettre à leurs intuitions. On aurait dû interdire l’accès compassionnel et signifier aux patients que s’ils voulaient recevoir des molécules, ils devaient être inclus dans des études randomisées. C’est ce qu’ont fait les Britanniques, avec Recovery : les agences de régulation ont porté des messages forts, les médecins ont travaillé collectivement, sans se mettre en avant, et ont produit les plus belles études, les plus utiles. En France, l’hubris médicale a pris le dessus, c’était la cacophonie. Chacun a tâtonné dans son coin, on a attendu un génie individuel, alors que la solution était collective. La plupart des études n’étaient pas assez puissantes : elles n’incluaient pas assez de patients ou leur méthodologie n’était pas assez robuste. »
" Mais finalement, « on a l’impression que les Français ont été plutôt prudents, et ont plutôt prescrit des corticoïdes, qui se sont avérés efficaces sur les patients dans un état grave. Mais il y a eu de très grandes différences de prescriptions, hôpital par hôpital, voire service par service », considère le professeur Lega. "
" L’OMS insiste aussi sur le risque environnemental, grandissant pour la santé humaine. Un quart des décès dans le monde sont déjà attribuables à la dégradation de l’environnement : qualité de l’air, de l’eau, exposition aux produits chimiques, etc. Pour la première fois, l’OMS intègre les risques liés au dérèglement climatique, qui menace la santé physique et mentale de 3,6 milliards de personnes dans le monde : multiplication des inondations, des sécheresses, des incendies, progression des maladies transmises par les moustiques, les tiques et les rongeurs, etc."
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"Des habitants de Shanghai ont affronté des policiers venus les obliger à céder leurs appartements pour y isoler des personnes positives au coronavirus"
C’est la fin du gel hydroalcoolique ? Au début de la pandémie, on considérait que le coronavirus se transmettait par les éternuements, la toux, mais surtout par le contact avec des surfaces infectées. Mais peu à peu les experts ont constaté que cette transmission se fait principalement par l’aérosol qu’une personne infectée produit en parlant, voire en respirant. Et que le contact avec des surfaces contaminées par le virus ne représente pas un grand risque d’infection. Pourtant, des études ont montré que le virus peut rester intact sur les surfaces pendant plusieurs jours : jusqu’à 28 jours sur des surfaces lisses comme les écrans de téléphones portables ! Mais malgré cette résistance, aucun cas d’infection n’a été constaté où la seule voie possible de transmission aurait été une surface contaminée.
Selon un rapport des Nations Unies :
« la pollution et les substances toxiques sont à l’origine d’au moins 9 millions de décès prématurés par an, soit deux fois plus que la pandémie de Covid-19 au cours de ses dix-huit premiers mois. À l’échelle mondiale, un décès sur six est lié à des maladies causées par la pollution, soit trois fois plus que les décès dus au sida, au paludisme et à la tuberculose réunis et 15 fois plus que ceux imputables à l’ensemble des guerres, meurtres et autres formes de violence. »
" Principaux responsables de cette situation dramatique : les grandes entreprises, qui ne respectent pas les règles de protection de l’environnement, et les États, qui les laissent faire. "
Contrairement aux morts pour le covid, là on entend plus personne..
Sachant qu'on peut avoir un passe et être positif.
N'est-ce pas l'inverse qu'il faudrait faire d'un point de vue sanitaire ?
« un masque, pas de passe » ...
Du début à la fin, ce gouvernement aura décidément eux du mal avec les masques alors que c'est la base (avec l'aération et la ventilation mais de ça n'en parlons surtout pas).
"Arrêtez de dire que l'épidémie est terminée !" : le Pr Philippe Juvin a lancé l'alerte le dimanche. "Ceux qui vous disent cocorico l'épidémie est finie sont des gens qui vous disent ce que vous avez envie d'entendre"