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" D'où vient le virus qui bouleverse la planète ? Mystère ! Pour une grande majorité de scientifiques, il vient de Chine. Pour les autorités chinoises au contraire, il vient d'ailleurs. Qui dit vrai ? Les experts de L'OMS, après des mois de négociations, se sont enfin rendus en Chine. Mais leur inspection sous étroite surveillance et leurs conclusions n'ont pas convaincu toute la communauté scientifique. Le virus vient-il d'une simple transmission animale, comme le suppose l'OMS ? Ou bien de produits surgelés que la Chine aurait importés, selon Pékin ? "
Début du docu sur le covid à 40 minutes.
[Edit]
visible ici : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/video-coronavirus-le-mystere-des-origines_4328629.html
" L’Union européenne, la France en particulier, et les pays riches en général, vont-ils enfin consentir à accepter de lever les brevets sur les vaccins et médicaments contre le COVID-19 comme le réclament les pays du Sud depuis des mois ? "
" 3 effets rebonds probables du véhicule autonome :
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Augmentation des distances parcourues (car trajets moins pénibles)
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Etalement urbain (idem)
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Véhicules qui rentrent à vide pour éviter de payer le stationnement "
" Aucun des grands acteurs de ce secteur économique, dont les géants Amazon, Cdiscount, eBay ou encore Wish, n’est nommément cité, mais on comprend vite que ce sont eux qui sont visés. Et la mise en cause est gravissime, puisque l’ampleur de la fraude se résume à cette statistique ahurissante : « Les enquêtes de la Direction nationale des enquêtes fiscales (DNEF) ont mis en évidence que 98 % des sociétés opérant sur les places de marché contrôlées n’étaient pas immatriculées et ne payaient pas de TVA (enquête réalisée en 2017, vérifiée en mai 2019) », révèle l’IGF. "
" « la Commission européenne, partie prenante puisque la TVA représente 12 % des recettes du budget de l’Union, [qui] procède à une évaluation annuelle de l’écart TVA », entre ce qu’elle devrait encaisser normalement, compte tenu des échanges commerciaux constatés, et la TVA effectivement encaissée. "
" Dans son dernier rapport, publié en septembre 2018, précisaient les deux parlementaires, la Commission européenne faisait ainsi « état de 147 milliards d’euros de pertes dans l’Union européenne et de 20 milliards d’euros de pertes pour la France, un chiffre relativement stable depuis 2012 ». "
" « De nombreuses fraudes à la TVA sont mises en œuvre par des sociétés agissant seules, de manière autonome. Elles reposent sur des faux en écriture et se conjuguent à d’autres infractions (abus de biens sociaux, abus de confiance, banqueroute…). » "
Ce vaccin [AstraZeneca] est-il réellement moins efficace que les autres ? À première vue, c’est ce que semblent suggérer les résultats des essais cliniques : alors que les deux vaccins ARN montraient une efficacité de 95 % à prévenir les cas symptomatiques confirmés, le vaccin d’AstraZeneca en empêchait « seulement » 70 %. Toutefois, si l’on s’en tient aux cas de Covid hospitalisés ou aux décès évités, tous ces vaccins atteignaient plus de 98 % d’efficacité dans les études.
Le problème, c’est qu’il est très difficile de comparer les données issues des essais cliniques car les critères d’évaluation d’efficacité diffèrent selon les laboratoires. Les placebos ne sont pas les mêmes, les populations vaccinées non plus, les délais pour comptabiliser les cas de Covid vont de 7 à 28 jours, selon les essais. Même la façon de comptabiliser les cas de Covid n’est pas la même.
Pour Moderna, il fallait au moins deux symptômes (fièvre et toux, par exemple) et un test virologique positif, alors que pour Pfizer et AstraZeneca, un seul symptôme et un test positif suffisaient. En outre, certains essais d’AstraZeneca ont eu lieu sur des populations déjà confrontées aux nouveaux variants du virus, alors que ceux de Moderna ou de Pfizer étaient terminés avant que ces variants circulent largement.
En réalité, l’idéal serait de comparer l’efficacité des différents vaccins en vie réelle, ce qui commence à devenir possible grâce aux données qui s’accumulent. Ainsi, une étude vient d’être publiée en « preprint » (texte pas encore relu par d’autres chercheurs). Elle a été menée en Écosse sur plus de 39 000 personnes, dont 27 675 avaient reçu le vaccin Pfizer/BioNTech et 11 382 le vaccin AstraZeneca. Contre toute attente, elle montre finalement une efficacité supérieure pour AstraZeneca : 28 à 34 jours après la première injection, le vaccin anglo-suédois diminue de 94 % les hospitalisations, contre 85 % pour le vaccin Pfizer/BioNTech.
En outre, le vaccin d’AstraZeneca semble le plus rapidement efficace : 70 % d’efficacité dès la seconde semaine suivant la primo-injection, contre seulement 38 % à cette même période pour le Pfizer/BioNTech. Il faut en outre noter qu’en Écosse, l’AstraZeneca est majoritairement utilisé par les plus de 65 ans, alors que le Pfizer/BioNTech est surtout injecté chez les moins de 75 ans, contrairement à la France. De quoi redorer encore plus l’image du vaccin AstraZeneca.
Hum ... :/
Richard au secours !
Rho les arguments d'Estrosi, incroyable comment ils se prennent pour des intouchables
" Depuis hier, toutes les entreprises qui vendent des appareils électroménagers tels que des réfrigérateurs, des machines à laver, des sèche-cheveux ou des téléviseurs dans l'Union européenne doivent garantir à leurs clients que ces appareils pourront être réparés pendant une période pouvant aller jusqu'à dix ans, dans le cadre du dernier effort du bloc des 27. "
" Donc un ancien président condamné à un an de prison ferme est invité au #20h de @TF1
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Ce matin, son avocate était invitée sur @franceinter
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Alors que l'avocat d'Herzog l'était sur @JJBourdin_RMC
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Le tout avec les amitiés de @GDarmanin
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Dans quelle démocratie vivons-nous ? "
" Désastreuse classe politique qui réclame la fin du laxisme et la tolérance zéro pour le péquin, mais attaque la Justice à chaque fois que l’un des siens est condamné.
Quelle société construit-on sur ce double discours et cette défiance permanente? "
Tout est dit en un Twitt les détails ici.
Le féminisme au service du capital
"L’affaire « Bismuth » est un arbre qui ne cache pas une forêt mais la montre : un pays malade de sa corruption.
La France."
"Il faut prendre la mesure de l’événement historique qui s’est produit ce lundi 1er mars, en début d’après-midi, au tribunal de Paris. Non seulement, pour la première fois de l’histoire judiciaire et politique française, un ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, a été reconnu coupable de « corruption », sans nul doute le plus infamant des délits pour qui a eu une charge publique, mais c’est la deuxième fois que la justice de ce pays condamne un ex-chef de l’État pour des faits relevant d’une atteinte à la probité publique."
"Ce précédent [...] à moins de dix ans, en décembre 2011, avec la condamnation de Jacques Chirac (le prédécesseur de Nicolas Sarkozy à l’Élysée…), reconnu coupable de « détournements de fonds publics » et « abus de confiance » dans l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris."
"Politiquement, tous avaient été, à des degrés divers, des adeptes de la tolérance zéro vis-à-vis de la délinquance de droit commun, sauf celle en col blanc ; et tous, à des degrés divers, n’ont pas manqué de sombrer dans les élucubrations complotistes les plus folles quand la police et la justice anticorruption ont commencé à s’approcher d’un peu trop près d’eux-mêmes ou de leurs amis."
"Il n’est pas un proche de Nicolas Sarkozy qui n’ait eu maille à partir avec la justice ces dernières années."
"La liste a vraiment quelque chose de vertigineux quand on se penche dessus : les mentors de Sarkozy (Charles Pasqua, Édouard Balladur), son premier ministre (François Fillon, donc), ses amis d’adolescence (Brice Hortefeux, Patrick Balkany), ses conseillers (Patrick Buisson, Boris Boillon), des ministres phares (Claude Guéant, Christine Lagarde), son trésorier (Éric Woerth), son associé historique dans un cabinet d’avocats (Arnaud Claude), son propre avocat (Thierry Herzog), son maître espion (Bernard Squarcini), son témoin de mariage (Nicolas Bazire), sa suppléante (Joëlle Ceccaldi-Reynaud), etc…"
"Certains ont été condamnés, d’autres vont être jugés, d’autres encore ne sont « que » mis en examen dans les enquêtes en cours, mais tous décrivent par les faits qui leur sont reprochés un terrible soupçon pour une démocratie comme la France. Celui d’une prédation sur le dos des citoyens, de leur confiance dans la démocratie et de leur portefeuille (aussi), au mépris des règles élémentaires de décence publique qu’imposent pourtant les mandats et fonctions que chacun a occupés."
« Il s’est servi de son statut d’ancien président de la République et des relations politiques et diplomatiques qu’il a tissées alors qu’il était en exercice pour gratifier un magistrat ayant servi son intérêt personnel. Au surplus, M. Nicolas Sarkozy a la qualité d’avocat et était donc parfaitement informé des obligations déontologiques de cette profession », ajoute le tribunal, pour lequel ce « dévoiement » porte « lourdement atteinte à l’État de droit ».
"Nicolas Sarkozy n’est-il pas membre du conseil de surveillance du groupe Lagardère, propriétaire notamment du JDD et de Paris Match, dont certaines plumes n’hésitent pas à voir un « complot » derrière les malheurs judiciaires de l’ancien président dans l’affaire Kadhafi ? Au sein du groupe Lagardère, Nicolas Sarkozy n’est-il pas chargé de jouer les arbitres entre deux grands fauves du capitalisme française, Vincent Bolloré et Bernard Arnault, eux-mêmes très implantés dans le monde médiatique français ?"
"Bien que multi-mis en examen dans plusieurs dossiers politico-financiers d’ampleur, Nicolas Sarkozy a pu profiter à multiples reprises des faveurs et du soutien symbolique d’Emmanuel Macron, qui n’a pas hésité à en faire son ambassadeur personnel dans plusieurs pays étrangers pour des événements officiels."
"Imagine-t-on une seule seconde un homme suspecté de multiples braquages, de vols à la tire ou de grand banditisme se voir confier par les plus hautes instances du pays le privilège de représenter la France officielle à l’étranger sans que cela ne suscite une effusion de débats, d’indignations et de railleries en tous genres ?"
"Après sa condamnation dans l’affaire « Paul Bismuth », Nicolas Sarkozy peut compter sur le soutien unanime de ses anciens amis politiques. Pour masquer leur embarras, les élus Les Républicains (LR) ont préféré dénoncer un « acharnement judiciaire »."
" Ce contre-feu aux accents complotistes peine à masquer l’embarras d’une droite LR renvoyée ainsi à ses démêlés judiciaires. Le paradoxe, lui, est cruel : depuis 2012, le parti n’a eu de cesse de dénoncer le prétendu laxisme de la justice française. Et le voilà réduit à déplorer sa sévérité. En 2015, Nicolas Sarkozy lui-même proposait dans Le Parisien de mettre fin à l’aménagement des peines « supérieures à six mois ». C’est ce même type d’aménagement qui lui permet, aujourd’hui, d’éviter la prison. « La non-exécution des peines, c’est l’impunité », arguait-il pourtant en 2012. "
" cette condamnation de Nicolas Sarkozy vient aussi fragiliser les derniers espoirs de ceux qui voyaient en lui un recours pour 2022. Lesquels existaient bel et bien : face à la pénurie de leaders à droite, certains élus LR réclamaient ouvertement que le parti sollicite son ancien président pour mener la bataille. "
" En attendant le procès en appel dans ce dossier, Nicolas Sarkozy sera jugé à partir du 17 mars prochain dans l’affaire dite « Bygmalion », relative au financement de sa campagne présidentielle de 2012. Il est également l’objet d’une quadruple mise en examen dans l’affaire du financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007."
" Même condamné et empêtré dans les procès, l’ancien chef de l’État devrait toutefois peser de tout son poids dans l’avenir de sa famille politique. Laquelle se déchire ces temps-ci autour du mode de désignation de son candidat et de l’éventualité d’une primaire. Si candidat il y a… Christian Estrosi, sarkozyste parmi les sarkozystes, a déjà appelé publiquement la droite à se ranger derrière Emmanuel Macron. "
" Offrir aux personnes dépendantes des promenades à vélo triporteur, au grand air et en toute sécurité.
LES OBJECTIFS
Redonner aux aînés le droit de vivre la ville et la nature
Créer un pont entre les générations, avec les pilotes bénévoles
Favoriser la rencontre "
Asso présente à beaucoup d'endroits en France.
Gouvernement et majorité multiplient les attaques contre leurs opposants, notamment écologistes, jugés trop radicaux ou démagogues, afin que le chef de l’Etat apparaisse comme la seule offre possible contre l’extrême droite à la présidentielle de 2022.
" Donner du sens à son argent, être plus regardant sur les activités de sa banque, chercher des alternatives cohérentes avec ses préoccupations écologiques et sociales : c’est ce que cherchent à faire de plus en plus de gens, si l’on en croit les chiffres de plusieurs organismes contactés par Mediapart."
" Ces traces viennent du Sahara et plus précisément des tests nucléaires que la France a mené en Algérie, 17 essais de 1960 à 1966. Le césium-137 perd la moitié de sa teneur radioactive tous les 30 ans, 60 ans après il en reste pourtant qui reviennent en France. Pierre Barbey a rappelé à France 3 que dans le Sud algérien "la population vit avec ces traces de césium-137 au quotidien, certains terrains sont toujours fortement contaminés, cela donne une idée de la contamination de l’époque”. "
Retour à l'envoyeur 50 ans aprés !
C'est de cet événement dont il est question.
« Ce que la candidature Montebourg veut dire, c’est qu’on peut reprendre nos vies en main », résume Valentin Przyluski. "
" La seule solution à même de pouvoir éviter la catastrophe qui s’annonce, estime lui aussi l’économiste « atterré » David Cayla : « Dès que l’État aura arrêté la perfusion actuelle du chômage partiel, les faillites vont se multiplier comme jamais. La crise va tout emporter et il faudra tout reconstruire. C’est là qu’il faut quelqu’un qui apparaisse à la fois suffisamment anti-système pour conduire le changement, et comme un homme d’État capable de repenser la société française… Sinon, la défiance actuelle envers les institutions, ajoutée à la crise économique majeure qui est devant nous, peut déboucher sur des candidatures totalement folles. » "
" D’où cet appel à faire exploser le vieux clivage droite-gauche pour lui substituer celui entre (néo)libéraux et partisans d’un État interventionniste. « La droite post-gaulliste favorable à la participation, qui défend notre pays et n'est pas favorable à la mondialisation, me paraît tout aussi proche de moi que de nombreuses personnalités de gauche », affirme-t-il ainsi dans Le Point. « Le sujet, ce n'est pas la gauche, ce n'est pas la droite, c'est la France ! », répète à l'envi, depuis quelque temps, l’ancien ministre de François Hollande, pour qui « patriotisme » et « souverainisme » ne sont plus des gros mots."
" Tout le monde sait qu’à gauche il n’y a plus de majorité électorale, donc il faut une majorité populaire qui aille des gilets jaunes aux cadres diplômés », confirme un conseiller du candidat putatif qui parle d’« arc souverainiste » allant de la gauche républicaine à la droite sociale."
" ... s’est même retrouvé à attribuer quelques bons points à la politique économique « keynésienne » de Donald Trump : « [Le personnage est] odieux, néanmoins les petits salaires se sont envolés, le chômage est tombé à 3 % et son protectionnisme a été pour moi vertueux. Il y a des éléments protectionnistes à reprendre », estimait-il ainsi au moment de l’élection américaine."
"« Ne jamais préférer d’autres intérêts que ceux de la France et ne répugner devant aucun procédé pour la défendre. » La France donc, quoi qu'il en coûte.
Une ligne qui n’est pas que tactique. Sur le plan idéologique, il s’agit de « briser le cercle de la raison libérale », avance Valentin Przyleski. Mais aussi de répondre à ces délaissés de la mondialisation et des métropoles, ces gens de « quelque part » selon l’essayiste David Goodhart (qui les oppose aux « gens de nulle part »), décrits avec d’autres mots dans Ceux qui restent (La Découverte, 2019) par le sociologue Benoît Coquard."
" « Oui, on est pour l’indépendance, mais pas sur une ligne “cocardière” », défend, lui, John Palacin,conseiller régional d’Occitanie et qui fut le directeur adjoint de la campagne des primaires 2011, avant de devenir membre de son cabinet à Bercy. Il convoque l’imaginaire du Conseil national de la résistance (CNR) lorsque, pour relever la France après la guerre, la droite et la gauche s’étaient unies pour défendre le programme des « jours heureux », et mettre en œuvre une grande série de nationalisations, le suffrage universel direct, la sécurité sociale ou l’augmentation massive des salaires. « Il faut se rappeler que le CNR, précise-t-il, c’était beaucoup de gens de gauche, et un peu de gens de droite, car la droite avait été très affaiblie par la collaboration. Par ailleurs, le centre de gravité était clairement à gauche. »"
" s’enflamme cet électeur de Mélenchon en 2017 qui croit dur comme fer au « retour de la nation » dans la doxa politique française [... :] Aujourd’hui, juge-t-il, « les Républicains des deux rives doivent se parler pour contrer le libéralisme et aussi une certaine partie de la gauche, comme les écologistes “indigénistes” et les pro-CCIF [Collectif contre l’islamophobie en France – ndlr] ». "
" Même enthousiasme du côté de François Cocq, ce très proche de Jean-Luc Mélenchon, banni sans ménagement du mouvement il y a deux ans. Désormais, celui-ci se retrouve en phase avec « l’idée d’un État protecteur, d’une souveraineté de progrès, mais aussi d’une forme de raison populaire. Montebourg a su prendre en compte ce qu’il s’est passé avec les Gilets jaunes, c’est rare »."
« Montebourg parle le langage de la souveraineté, estime quant à lui Sébastien Meurant. La question de la nation n’est pas de droite ou de gauche. La situation est tellement grave qu’il va falloir faire des choix. » Olivier Marleix abonde : « Le mondialisme débridé de Macron a entraîné une espèce de sursaut patriotique, à gauche comme à droite. Le constat est de plus en plus partagé, y compris à droite, d’un capitalisme mondial illibéral, d’une mondialisation sans règles, qui détruit nos valeurs et notre tissu économique. »
" L’ancien conseiller de Sarkozy reste cependant très prudent sur l’idée d’une véritable recomposition politique : « Quoi qu’on dise, Arnaud Montebourg reste un homme de gauche, on a des nuances et des différences sur la liberté d’entreprise, sur l’immigration… » "
"Une partie de la rémunération des rédacteurs en chef de France Télévisions augmente s'ils parlent davantage de l'Union européenne, nous apprend "Le Monde". De quoi satisfaire notre secrétaire d'État aux Affaires européennes qui veut que "nos chaînes publiques parlent davantage d’Europe par tous les moyens possibles, de contrainte ou de pression"..."