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Tout est dans le titre ou presque ...
Bonne nouvelle, 84% des rues de Lyon passent à 30 km/h, dès demain !!!
Ici la carte des limitations de vitesses désormais en vigueur : https://www.onlymoov.com/ville30/
Autres articles sur le sujet : https://www.lyonmag.com/article/121922/valentin-lungenstrass-avec-lyon-ville-30km-h-on-vise-le-0-mort-0-blesse-grave
On se fait plumer par des cabinets de conseil, le plus triste c'est que ça va continuer encore 5 ans, et encore plus fort.
Article qui prend du recul sur le discours de certains milieux de gauches (coucou Melenchon).
Milieux de gauches qui continuent, on dirait, de trouver des excuses à l'invasion poutinienne à base de "c'est à cause de l'OTAN".
"Un fonds lancé par la Banque publique d’investissement (BPI France), ouvert aux souscripteurs apportant au moins 5 000 euros, a dégagé en neuf mois un rendement de 43 %, grâce à une forte décote des actifs publics. Une opération financière qui symbolise la politique économique du quinquennat Macron."
" Vidéosurveillance, bracelet connecté, application vérifiant l’apparence des hôtesses d’accueil… Sur le lieu de travail, la technologie est aussi un outil de management et de contrôle. Les cas d’utilisation des nouveaux outils technologiques contre les salariés se multiplient. "
"chez Pénélope Welcome, les hôtesses* de l’entreprise ne sont pas des salariées comme les autres. L’agence de placement, l’une des plus importantes du secteur en France, attend d’elles une mission simple : « devenir la vitrine » de l’entreprise cliente dont elles assurent l’accueil.
Une tâche dans laquelle leur employeur entend les soutenir grâce à une application miracle. « Pour vous aider dans ce challenge quotidien, nous avons conçu une application, Pénélope Selfie, à télécharger sur votre téléphone, lit-on dans un document de présentation du logiciel remis aux salariées. Cela vous permettra de réaliser chaque jour une photo de vous qui montrera votre coiffure, votre bonne mine, votre tenue et vos chaussures. » Un cliché que les salariées doivent prendre, précise le flyer, « dès que possible » après leur arrivée sur site."
"Le marché de la surveillance au travail est aussi en plein boom. Sysnav, une entreprise spécialisée dans les solutions de navigation, de géolocalisation et de capture du mouvement, propose, par exemple, des bracelets permettant de géolocaliser les personnes travaillant sur des postes isolés.
Née à Amiens, l’entreprise Teleric, qui fabrique de longue date des pointeuses, s’est, elle, spécialisée dans les pointeuses de nouvelle génération comme la Mini V4. L’appareil, que l’entreprise revendique avoir vendu à plus de 10 000 exemplaires, permet « de suivre en temps réel l’activité d’un agent tout au long de sa journée de travail ». Sa bonne utilisation est censée « procurer rapidement » à l’entreprise l’utilisant « des gains en termes de marge et de chiffre d’affaires »."
"L’entreprise Seris, qui emploie plus de 8 000 agents de sécurité en France, a pour sa part fait le choix d’une technologie plus ancienne. En juin, la direction de l’entreprise a présenté devant le CSE un projet d’« utilisation des systèmes de vidéosurveillance à des fins de contrôle de l’activité des salariés ». Projet qui rappelle la surveillance dont assurent être victimes les agents de sécurité de la fondation Louis Vuitton – la direction a démenti ces allégations.
Le document détaille le projet du leader français de la sécurité privée. L’entreprise explique vouloir « utiliser les systèmes de vidéosurveillance comme mode de contrôle de l’activité des salariés et comme mode de preuve à l’appui d’une sanction ou d’un licenciement disciplinaire », en s’appuyant sur les réseaux de caméras déjà existants chez leurs clients."
En fin d'article, est également donné l'exemple de l'aéroport Saint-Exupéry de Lyon, où les caméras de vidéosurveillance initialement destinées à filmer les passagers sont détournées pour fliquer les employés.
Particuliers ou entreprises russes « essaient évidemment de convertir leurs roubles dans les crypto-actifs », a relevé Mme Lagarde, notant que les volumes de roubles convertis atteignaient un niveau particulièrement élevé depuis les sanctions imposés par les Occidentaux.
« Les occupants continuent à se comporter comme des terroristes », a répliqué Iryna Verechtchouk sur Telegram. « Ils disent qu’ils sont d’accord (pour instaurer un) corridor humanitaire et le matin, ils bombardent le lieu d’évacuation. Le gouvernement fait tout ce qui est possible. La chose la plus importante pour nous est de sauver la vie et la santé de nos citoyens ».
Selon les autorités locales, les soldats russes ont transporté de force autour de 1.000 habitants vers la Russie, les privant de leur passeport ukrainien - un possible crime de guerre.
Mme Verechtchouk a affirmé au journal Ukrainska Pravda que des enfants étaient « kidnappés » dans des orphelinats.
« 350 enfants vont être emmenés de force en Russie sans nous permettre de les récupérer », a-t-elle dit, demandant aux autorités russes de leur dire « dans quel orphelinat » ils seront placés, et « pourquoi ».
Le missile du 20 rue Bogatyrska ne pouvait détruire autre chose qu’un immeuble d’habitation. Pas la moindre cible « de guerre » autour : pas d’usines, d’entrepôts, de centrale électrique, d’infrastructure importante, de bâtiments militaires. Mais un terrain de foot, une école et une grosse dizaine d’immeubles semblables. Même les check-points et barrages dressés sur les principales routes de la ville se trouvent à plusieurs centaines de mètres.
L’armée russe vise ainsi à Kyiv, comme à Kharkiv, Marioupol, Mikhailovsky, des populations civiles, multipliant les crimes de guerre. Comme à Grozny en décembre 1999, quand la ville fut rasée, la stratégie est d’abord de terroriser la population pour la faire fuir ou provoquer la capitulation des autorités ennemies. La guerre russe se construit ainsi sur la mort des civils.
C’est la fin du gel hydroalcoolique ? Au début de la pandémie, on considérait que le coronavirus se transmettait par les éternuements, la toux, mais surtout par le contact avec des surfaces infectées. Mais peu à peu les experts ont constaté que cette transmission se fait principalement par l’aérosol qu’une personne infectée produit en parlant, voire en respirant. Et que le contact avec des surfaces contaminées par le virus ne représente pas un grand risque d’infection. Pourtant, des études ont montré que le virus peut rester intact sur les surfaces pendant plusieurs jours : jusqu’à 28 jours sur des surfaces lisses comme les écrans de téléphones portables ! Mais malgré cette résistance, aucun cas d’infection n’a été constaté où la seule voie possible de transmission aurait été une surface contaminée.
Après quelques tentatives au début des opérations, les armées du Kremlin semblent de fait réticentes à engager des combats de rue, où l’infanterie légère ukrainienne, renforcée selon le New York Times par 17 000 missiles antichars fournis par les États-Unis et l’Otan, leur infligerait des dommages très substantiels.
« Des combats ont éclaté dans le centre de Kharkiv dès le 27 février, mais les Russes ont été rapidement éliminés, et ils se contentent depuis de bombarder la ville
C’est une guerre de siège que les Russes mènent désormais en Ukraine, appliquant des stratégies déjà éprouvées en Syrie et en Tchétchénie, à savoir la destruction systématique des infrastructures des villes assiégées, et notamment des dispensaires médicaux. Les troupes du Kremlin prennent aussi soin de couper l’eau, le gaz et l’électricité, ainsi que les approvisionnements en nourriture et en essence.
Soixante-trois hôpitaux auraient ainsi été bombardés depuis le début de la guerre, a récemment annoncé le ministre ukrainien de la santé
Ce qui semble donc se dégager, c’est qu’en période de guerre, l’effondrement du PIB ou de la consommation en soi n’est pas un indicateur d’effondrement politique et social.
La clé est toujours politique. Dans le cas allemand de 1918 comme dans le cas russe de 1917, la révolution émerge non pas directement de l’effondrement économique, mais comme le fruit de la défaite militaire qui rend soudain les sacrifices économiques vains.
Ce détour permet de nuancer le scénario qui semble aujourd’hui central en Occident suivant lequel l’effondrement économique conduira nécessairement à l’arrêt des combats ou à la chute du régime russe. La clé est toujours politique et réside dans l’acceptation politique de ces sacrifices économiques.
Une fois ces éléments posés, la question économique reste néanmoins majeure. Le lien entre économie et politique est complexe. La nature de l’effondrement joue un rôle majeur : s’il atteint la capacité du pays de poursuivre la lutte ou de maintenir un niveau de vie minimum pour la population, il conduit à un désastre politique. Pour tenir, il faut disposer des moyens d’assurer l’effort de guerre et d’assurer un niveau de vie minimum à la population. C’est d’ailleurs l’inaptitude du régime tsariste à remplir ces deux objectifs qui a conduit la Russie de 1917 au chaos.
Chute de 24% !
Grâce à :
- de l'argent investi dans les tribunaux
- des bracelets anti-rapprochements.
- des tribunaux dédiés
Extrait : « Les violences envers les femmes sont le symptôme. Mais la maladie vient de la société, de ses préjugés et du système capitaliste, estime Me Serra. Comment peut-on aider une victime qui a fui son mari et vit dans la rue ? Aujourd’hui, le système capitaliste est poussé à l’extrême. On a une situation sociale toujours plus précarisée, une extrême droite qui banalise les violences : le contexte social ne peut que favoriser les violences envers les femmes. La meilleure formule pour lutter contre elles, c’est une politique sociale globale. Ensuite , on pourra parler de stratégie envers les violences conjugales. »
lien direct : https://www.humanite.fr/monde/violences-faites-aux-femmes/violences-faites-aux-femmes-comment-lespagne-fait-baisser-de-24
Les super-puissances possèdent des zones influences autour de leurs frontières, zones dans lesquelles il n'est pas tolérable qu'une autre super-puissance tente d'y installer ses bases militaires".
Et il explique très bien que le fait que Putin soit un démagogue / dictateur n'est pas la question car cela ne change rien à ce qui est acceptable pour la Russie en tant que nation comme ça l'était pour les USA avec Cuba.
Enfin il dénonce ce double discours visant à dire que les USA peuvent intervenir militairement partout dans le monde pour servir leurs intérêts et leur vision des choses alors que la Russie ne le pourrait pas et il dit sans tergiverser que c'est totalement hypocrite.
Je me souviens qu'Hillary Clinton expliquait lors de sa campagne contre Trump qu'elle avancerait vers un conflit ouvert avec la Russie, Biden étant le remplaçant d'Hillary Clinton, c'est exactement ce qui est en train de se passer. L'oligarchie financière américaine veut un contrôle du monde sans partage et est parvenue à pousser les Russes à la faute, Trump n'aura été qu'un frein à ce projet ; comme quoi même les pires peuvent parfois bien faire...
J'ai lu l'article tard et trop rapidement mais il me semble que Noam Chomsky soit également sur cette lecture des choses :
https://www.revue-ballast.fr/ukraine-le-regard-de-noam-chomsky/
"Pourquoi vous ne faites pas pareil pour Poutou".
L'argument qu'ils ont utilisé c'est "on le parraine parce qu'il est à +10% d'intention de vote, donc si on ne parraine pas cela coupe une part notable de l'électorat du vote".
Castex, Larcher et d'autres ont fait un appel dans ce sens, avant qu'une vague d'élus se décident à parrainer Le Pen, Zemmour. Poutou n'ayant peu d'intention de vote ...
Selon eux se sont donc les sondages qui déterminent si on doit ou non parrainer quelqu'un.
À la recherche de caméras accessibles via Internet pour suivre le conflit, Reflets s'est retrouvé dans les voitures de la police de Kyiv, avec son et image en temps réel. Les risques présentés par ces défauts de configuration nous ont poussé à prévenir les autorités. En moins de quatre heures, les flux ont été coupés.
Bien joué Reflets.