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À l’heure où les ressources hydriques s’amenuisent en Europe, les multinationales de l’eau en bouteille n’entendent pas renoncer à leurs prérogatives. Enquête en France et en Allemagne où les conflits d’intérêts paralysent les espoirs de réglementation.
Comment le laisser-faire sur les réseaux sociaux permet aux nationalismes populistes de propager la haine et le mensonge. Cette enquête dévoile la partie immergée de l'iceberg "fake news" dans quatre pays "écoles" : États-Unis, Inde, Brésil et Italie.
Il y a quinze ans encore, on percevait les réseaux sociaux comme un ferment démocratique nouveau qui, en favorisant la diffusion de l'information et la communication horizontale entre citoyens, aiderait les peuples à briser leurs chaînes, de l'Europe orientale au monde arabe. L'histoire s'est écrite autrement
" Comment, des ravages du tabac au déni du changement climatique, on instrumentalise la science pour démentir... la science. Une vertigineuse investigation dans les trous noirs de la recherche et de l'information. "
Citation Thinkerview :
"Il faut regarde cet excellent doc @ARTEfr
et en suite se poser la question comme après la crise bancaire de 2008 : QUI EST EN TAULE ? N'oubliez pas de traverser la rue et de payer vos impôts !"
" Avec ce film, France 5 a réalisé sa meilleure performance annuelle avec plus d’un million de téléspectateurs. Les réactions consécutives à cette diffusion mettent en lumière les moyens financiers et stratégiques que possède le secteur agroalimentaire pour museler les sources (principalement les agriculteurs), les élus et la presse. "
Documentaire sur les mouvements qui luttent contre l’inaction climatique.
" First of all it's an online RSS feed generator.
This service allows you to create RSS feed out of almost any web page."
Pas eu le temps de tester mais l’outil à l'air intéressant pour générer un rss quand il n'existe pas.
"Je reste stupéfait de la gestion de cette pandémie, et «en même temps», je ne peux pas tout à fait en vouloir à ceux qui nous gouvernent, brutalement jetés dans la tourmente, face à un virus qui a instantanément rendu obsolète leur vision du réel. Eh oui… On ne négocie pas avec un virus, on ne berne pas un virus, on ne triangule pas un virus, on ne temporise pas face à un virus, on ne calcule pas en fonction d’une stratégie électorale avec un virus. On fait face, ou on est submergé. [...] Le couvre-feu ne sert à rien. Ne pas confiner maintenant, rouvrir les écoles en s’arc-boutant sur un protocole obsolète basé sur le mantra que les enfants ne participent pas de la diffusion de la pandémie, sans masque à partir de 6 ans, sans protocole d’aération et de distanciation, prôner le télétravail du bout des lèvres, maintenir le travail pour soutenir l’économie, n’a pas de sens."
Le Collectif Écran Total, dans « Linky : surveiller et gérer », explique comment ce compteur « intelligent »
La LFP a voté la souscription d’un emprunt garanti par l’État de 224,5 millions d’euros pour renflouer ses clubs, surtout ceux de Ligue 1. Malgré cette aide, certains sont au bord du dépôt de bilan. Mediapart révèle des documents confidentiels établissant le caractère périlleux de l’opération effectuée sans la moindre vérification de solvabilité. Les contribuables risquent de payer les dérives du foot-business.
" Il existe encore "Dans Paris" un critérium cycliste. Le dernier... Une course qui se déroule dans l'indifférence la plus totale. "Le cyclisme d'après guerre était un art parisien" nous dit Philippe Bordas dans son chef d'oeuvre "Forcenés". Bouleversé par ce livre, nous avons décidé de lui rendre hommage, à notre manière.. "
Voir aussi :
Comment l’open source fait face à la crise du COVID-19
https://www.zdnet.fr/actualites/comment-l-open-source-fait-face-a-la-crise-du-covid-19-39900867.htm
Extrait :
"Pfizer, l'un des géants de l'industrie pharmaceutique, historiquement aussi ouverts à l'open source – tout comme ses concurrents – que l'était Steve Ballmer lorsqu'il était PDG de Microsoft, appelle désormais toutes les sociétés pharmaceutiques, par la voix de son PDG Albert Bourla, à unir leurs forces pour lutter contre la pandémie.
« Alors qu'on a très peu de connaissances sur ce virus, beaucoup travaillent à développer des tests cellulaires, un dépistage viral, des tests sérologiques et des modèles de traduction pour tester les thérapies et vaccins potentiels. Pfizer s'engage à rendre les outils que nous développons disponibles sur une plateforme open source, afin qu’ils bénéficient à la communauté scientifique élargie et à partager en temps réel les données et les apprentissages acquis avec d'autres sociétés pour faire progresser rapidement les thérapies et les vaccins pour les patients. »"
Intro :
Le débat autour d’une supposée sortie du confinement pour des raisons économiques est la pire manière de penser cette époque. C’est un débat entre deux positions conservatrices qui dissimule la vraie question, démocratique.
« soudain, en quelques semaines, on se rend compte que l’on peut stopper la fuite en avant de l’économie marchande, que l’on peut se concentrer sur l’essentiel : nourrir, soigner, prendre soin. Et que, étrangeté suprême, la Terre ne cesse pas de tourner, ni l’humanité d’exister. Le capitalisme est suspendu dans son fonctionnement le plus primaire : il génère une plus-value minimale, insuffisante à alimenter la circulation du capital. Et l’homme existe encore. (...)
Alors, pour continuer à maintenir en vie le mythe du caractère capitaliste intrinsèque de l’humanité, on a recours à des menaces : tout cela se paiera, et au centuple. Et par des morts. On ne réduit pas impunément le PIB de 30 %. Sauf que, précisément, l’époque montre le contraire et invite à construire une organisation où, justement, la vie humaine, et non la production de marchandises, sera au centre.
Et là encore, l’époque est bavarde. Ces gens qui pensent que seul le marché produit de la valeur se retrouvent, eux-mêmes, à pouvoir manger à leur faim dans une ville propre, alors même que le marché ne fonctionne plus de façon autonome. Ils ne le peuvent que grâce au travail quotidien de salariés, des éboueurs aux caissières, des chauffeurs de bus aux soignants, des livreurs aux routiers qui, tout en s’exposant au virus, exposent au grand jour la preuve de l’écart béant entre la valorisation par le marché de leur travail abstrait et la valeur sociale de leur labeur concret. La valeur produite par le marché qui donne à un consultant un poids monétaire dix fois supérieur à celui d’une caissière ou d’un éboueur apparaît alors pour ce qu’elle est : une abstraction vide de sens. Ou plutôt une abstraction destinée à servir ce pourquoi elle est créée : le profit.
Pour nos « économistes », tout cela est profondément insupportable et il faut vite en finir avec un confinement qui finirait par rendre tout cela trop visible. On finirait par s’imaginer qu’il est possible de s’organiser autrement, de placer d’autres priorités au sein du fonctionnement social, de définir ses besoins essentiels pour construire une société de la sobriété. Mais alors, on n’aurait plus besoin de tout ce fatras – PIB, compétitivité, profits, dividendes, marchés financiers – qui assure la soumission du monde du travail à la valeur d’échange. »
En accès libre
EDIT : sauvegarde https://files.nekoblog.org/uploads/html/press/mediapart-2020.04.11-confinement-economie.html
source des extraits : https://links.nekoblog.org/?t9335Q
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